1. Un voyage dans le train de nuit (1)


    Datte: 23/06/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Un voyage dans le train de nuit Je suis Paul, j’ai 35 ans au moment de cette histoire. Je travaille dans une société toulousaine qui a une antenne à Paris. Je suis responsable d’un secteur d’activité de ma société. Il se trouve que c’est la région parisienne qui est le plus développée dans ce secteur. Tous les mois, je passe une journée à l’antenne pour faire le point sur les différents clients et l’adéquation des produits à la demande. Nous sommes à l’été 2003 en pleine canicule et je dois me rendre à Paris. Je prends toujours le train de nuit, j’y ai vécu quelques bonnes aventures. Comme d’habitude, je fais une toilette approfondie et un lavement, j’aime les femmes, mais je ne suis pas contre une bonne bite dans le fion de temps en temps. Mon assistante étant en vacances, sa remplaçante me prend un billet de train première classe avec couchette à la place du billet seconde classe avec wagon lit que je prends d’habitude. J’ai horreur de dormir dans les sacs des couchettes, même de première classe, je préfère les lits des wagons-lits, ce sont de vrais lits avec des draps. Malheureusement, je ne peux pas faire l’échange à la gare, je monte donc dans mon compartiment. Comme nous sommes en été, et que je travaille dans une boite cool, je n’ai mis qu’une chemisette et un bermuda le tout avec des chaussures d’été ouvertes, je ne porte jamais de sous-vêtement. Il est presque vingt-trois heures et il fait encore plus de trente degrés. Je rentre dans le compartiment le premier, ...
    ... j’ai la place en bas devant par rapport au sens de la marche. Le train est resté toute la journée au soleil et on a l’impression d’être dans un four. J’ouvre la fenêtre en grand, mais ça ne sert pas à grand-chose. Je me déshabille entièrement et me couche nu dans le sac. Au bout de cinq minutes, je suis déjà en nage. Un homme entre dans le compartiment. Après les politesses d’usage, il se déshabille lui aussi intégralement et monte s’installer dans la couchette du haut en face de la mienne. Contrairement à moi, il reste nu sur son sac sans entrer dedans. C’est un homme d’à peu près mon âge, qui possède un sexe un peu au-dessus de la moyenne, à peu près comme le mien, mais contrairement au mien, sans avoir un gland proéminent. Le compartiment est éclairé et tout le monde peut voir ce qui se passe à l’intérieur, mais cela n’a pas l’air de le déranger. Je l’imite juste au moment où le train démarre, j’ai trop chaud. Il éteint la lumière, nous sommes juste éclairés par la lueur de la pleine lune. Nous sommes à peine sorti de la gare que je le vois se caresser la bite. Petit à petit son sexe se redresse, ça me donne des idées et je l’imite. Au bout de quelques minutes, nous bandons tous les deux. Je me dis que j’aimerais bien qu’il me défonce la rondelle avec son braquemard. Il me regarde, me sourit et continu de se caresser. Le petit jeux dure vingt minutes, juste le temps d’arriver à Montauban ou le train s’arrête pour charger des voyageurs. La lumière de la gare envahi le ...
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