Un voyage dans le train de nuit (1)
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... compartiment, je me couvre du sac, ce qu’il fait aussi. Cinq minutes après l’arrêt, la porte du compartiment s’ouvre et une femme d’une petite trentaine d’années entre. Elle est assez grande, assez jolie et a de belles formes. Elle est habillée d’une mini robe très courte et ample. Elle nous regarde, nous dit bonjour, veut mettre sa valise dans le porte bagage, mais n’y arrive pas. En levant les bras, elle me dévoile deux magnifiques fesses bien bronzées que rien ne protège si ce n’est un string minimaliste. L’homme s’assoit sur sa couchette pour se saisir de la valise et l’aider, mais en faisant ce geste, il se découvre et la femme se trouve devant un beau sexe, qui certes s’est ramolli, mais est tout de même encore un peu gonflé. –Je vous prie de bien vouloir m’excuser madame, il fait si chaud. Elle le regarde puis se tourne vers moi, me regarde. –Ne vous en faites pas messieurs, car je présume que monsieur est nu lui aussi, je vais faire comme vous, il fait décidément trop chaud. Sur ces paroles, elle fait passer sa mini robe par-dessus sa tête, fait glisser le petit string le long de ses jambes en se penchant vers moi et s’allonge sur son sac sans y entrer. Elle a fait ça le plus naturellement du monde devant la fenêtre ouverte, tout le monde dehors pourrait la voir. Je remarque qu’elle est épilée, intégralement bronzée et que l’on voit très bien ses petites lèvres avec son clitoris qui affleure. Elle est vraiment très belle, ses seins pointent leurs tétons durcis, elle a ...
... un ventre assez plat, de belle jambes et des fesses à damner un saint, hautes et bien rondes, comme je les aime. Il se dégage d’elle une sensualité naturelle. Je fais valser le sac qui me couvre imité par l’homme. Elle me regarde intensément. –Nous ne nous sommes pas présentés, moi, c’est Isabelle, commerçante dans le centre-ville de Toulouse. –Paul, directeur de service dans une société de services. –Yves, commercial. –Dans quelle branche ? –Bonneterie, spécialisé dans les sous-vêtements, je vais à Paris présenter une nouvelle collection de lingerie dans la boutique d’un de nos fournisseurs. –Moi je vends des vêtements, et je vais moi voir un fournisseur, dites Paul, j’ai l’impression que je vous ai déjà vu, vous ne seriez pas client avec votre femme à la boutique XXXXX. –Non, je suis divorcé depuis quelques mois, je vie seul, mais je connais votre boutique, j’habite dans le même quartier. –Ou ça, si ce n’est pas indiscret ? –Rue de la pomme. –Ca alors, je comprends que vous me disiez quelque chose, j’habite la même rue depuis quinze jours. –A quel numéro ? –Au 15. –Non seulement vous habitez dans ma rue, mais aussi dans le même immeuble. –Ca alors. –Mais comment se fait-il que vous ne preniez le train à Montauban ? –J’étais chez des amis pour le week-end. Un silence tombe sur le compartiment, chacun reste sur le dos à regarder au-dessus de lui. Je commence à transpirer, la chaleur est écrasante, je passe ma main sur mon corps pour enlever la sueur. Isabelle en fait autant, ...