1. J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -3


    Datte: 23/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay

    ... est gravée cette phrase : « J’appartiens à Eric ». Mon Maître porte la même alliance, avec ces mots-ci dans le creux de l’anneau : « Je possède Guillaume ». J’aime que l’alliance d’Eric soit bien plus large que la mienne, et, si je l’essaie, que mon pouce flotte en elle. J’aime que les doigts d’Eric (même l’auriculaire) soient trop volumineux, trop puissants pour ma propre alliance. Mon Maître m’a dit qu’il m’épousera, le jour où cela deviendra possible. J’espère, ce jour, avoir le droit de porter son nom, pour, en quelque sorte, lui appartenir légalement.4) J’ADORE TOUS LES MOMENTS PASSÉS DANS LA CUISINE AVEC MON MAÎTRE. C’EST UN PEU SON ROYAUME, IL Y ACCOMPLIT DES MERVEILLES. MOI, JE FAIS OFFICE DE MARMITON, JE PÈLE, COUPE, PRÉPARE TEL OU TEL ACCESSOIRE, NETTOIE, RANGE AU FUR ET À MESURE, MAIS SURTOUT, JE DÉVORE MON HOMME DU REGARD ! IL MET UN TEL AMOUR À CONFECTIONNER DE BONS PLATS, UN TEL SOIN À VOULOIR TOUT RENDRE PARFAIT, POUR LUI, POUR MOI, POUR QUE NOS DÎNERS SOIENT DES MOMENTS DE PUR PLAISIR ! IL EST SI CONCENTRÉ QU’IL RESSEMBLE ALORS, LUI POURTANT SI FORT, SI GRAND, SI VIRIL, À UN PETIT ENFANT. J’EN AI PARFOIS LES LARMES AUX YEUX (C’EST VRAI, J’AI LA LARME FACILE !). J’AIME AUSSI QU’IL ME DONNE À LÉCHER SES DOIGTS, QU’IL M’EMBRASSE GOULÛMENT, QU’IL M’ÉCRASE CONTRE LE MUR, ENTRE DEUX PRÉPARATIONS CULINAIRES. J’AIME AUSSI, LE TEMPS DU REPAS, LE VOIR DÉVORER LA NOURRITURE, AVEC ENTHOUSIASME ET VORACITÉ. JE PENSE QU’ERIC MANGE DEUX FOIS PLUS QUE MOI. POURTANT, MALGRÉ ...
    ... MA MINCEUR, JE SUIS LOIN D’ÊTRE UN PETIT MANGEUR ! EN VÉRITÉ, JE VIS AVEC UNE ESPÈCE D’OGRE. POUR MON PLUS GRAND BONHEUR, JE SUIS SA NOURRITURE PREMIÈRE ! J’AI NOTÉ, DEPUIS LONGTEMPS, QUE PLUS IL PRENAIT DE PLAISIR À TABLE, ET PLUS JE PASSAIS À LA CASSEROLE ! IL Y A TROIS ANS, MON MAÎTRE A SUIVI UN RÉGIME PENDANT TROIS MOIS, POUR NE PLUS PESER QUE 91 KILOS (POUR 1M89). CERTES, IL ÉTAIT BEAU, TOUT EN MUSCLES, MAIS ME BAISAIT PLUS VITE ET MOINS SOUVENT. DE PLUS, IL RÂLAIT À LONGUEUR DE TEMPS ! UN SOIR, IL A FINI PAR M’AVOUER QU’IL AVAIT MAIGRI POUR MOI, POUR ME PLAIRE DAVANTAGE ENCORE, MAIS QU’IL N’EN POUVAIT PLUS DE SE PRIVER DU MATIN AU SOIR. J’AI ÉCLATÉ DE RIRE, ET LUI AI DIT, NATURELLEMENT, QUE JE LE TROUVAIS SUPERBE, ET QUE OUI J’AIMAIS SES MUSCLES, MAIS QUE JE LES AIMAIS PLUS ENCORE ACCOMPAGNÉS DE GRAISSE ! D’AILLEURS, IL ÉTAIT BIEN PLACÉ POUR SAVOIR QUE LES PILIERS DE RUGBY, DEPUIS TOUJOURS, ÉTAIENT MON IDÉAL MASCULIN (JE N’AIME RIEN MIEUX QUE DE ME BLOTTIR CONTRE LE CORPS MUSCLÉ, PUISSANT, MAIS AUSSI LOURD ET MASSIF, DE MON HOMME). QU’IL REPRENNE DU POIDS NE ME GÊNAIT NULLEMENT, AU CONTRAIRE ! ERIC A RI, SOULAGÉ, AVANT DE ME DONNER UN BAISER LONG, PROFOND, QUI M’A FAIT PERDRE LE SOUFFLE. PUIS, NOUS NOUS SOMMES PRÉCIPITÉS DANS UN PETIT RESTAURANT DU SUD-OUEST, À DEUX PAS DE LA MAISON. MON MAÎTRE Y A ENGLOUTI LE MENU DU TERROIR (FOIE GRAS, CONFIT DE CANARD, POMMES CUITES DANS LA GRAISSE, SALADE, FROMAGE, TOURTIÈRE LANDAISE !) ET, DE RETOUR À LA MAISON, IL M’A DÉFONCÉ COMME ...
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