1. J’AI TROUVÉ MON MAÎTRE -3


    Datte: 23/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay

    ... sans discuter, ce que mon Maître m’ordonne de porter. Quand j’essaie un pantalon, des baskets (…), et qu’il me trouve « craquant, bandant, sexy ! », je deviens le plus heureux des amoureux, la plus fière des lopes ! Et j’adore la façon dont s’habille Eric ! J’adore ses boxers, j’adore ses chaussures italiennes ou ses rangers, j’adore ses pantalons (y compris ceux de costume), lesquels peinent à contenir ses cuisses, j’adore ses chemises blanches qui laissent voir sa toison brune, j’adore ses pulls de pompier qui le rendent encore plus viril à mes yeux ! J’adore le voir essayer de nouveaux vêtements, de nouvelles chaussures, et, s’il me le demande, lui donner mon avis. Du reste, il lui suffit d’observer mon visage pour savoir ce que je pense. D’après lui, mes quatre expressions emblématiques signifient : « Bof… Pas si mal… J’aime… J’en mouille du cul ! » En vérité, mon Maître pourrait s’habiller comme l’as de pique, je crèverais, encore et toujours, de désir pour lui !2) J’ai un plaisir fou à marcher, dehors, tout près d’Eric. D’abord, je me sens protégé par lui, par sa force de Mâle. Et puis, j’ai toujours eu un sens déplorable de l’orientation (quand je suis fatigué, il m’arrive de confondre ma droite et ma gauche !). A l’extérieur, je glisse mes pas dans ceux de mon Maître, et me laisse guider par lui. Parfois, il me demande, par jeu, comment rejoindre telle ou telle rue. Malgré ma bonne volonté, je m’embrouille souvent dans mes explications ! Dommage : en cas de réponse ...
    ... correcte, Eric, à la maison, jouit sur mon visage et me barbouille de foutre (il sait que j’adore ça !). Marcher auprès de mon Maître est pour moi un honneur : j’ai la sensation, d’une certaine manière, que ma soumission, que sa domination éclatent au grand jour, et que les promeneurs, sans exception, m’envient d’appartenir à un tel macho. D’ailleurs, ils n’ont d’yeux que pour lui, les passants, j’en ai la conviction. Et je les comprends ! Dehors, j’ai le besoin constant de tourner la tête vers le visage d’Eric, de hausser mes yeux vers les siens, pour m’émerveiller de ma propre chance, comme si je n’y croyais pas tout à fait. Mon Maître alors me sourit, accentue la pression de sa main sur ma nuque, et je frissonne de bonheur. Il trouve amusante ma cécité, le fait que j’ignore tout regard posé sur moi. D’après lui, de nombreux d’hommes sont attirés par ma beauté, par mon « petit cul de salope ». IL les repère tout de suite et en éprouve de la fierté, de l’excitation. Du reste, il pense de plus en plus à me faire baiser par un autre que lui, devant lui, pour son plaisir mais aussi pour le mien. Sincèrement, dans la rue, je ne les vois pas, moi, ces hommes qui me désirent ! De toute façon, personne sur terre n’arrive à la cheville d’Eric ! Absolument personne !!!3) J’aime, à tout instant de ma vie, porter une alliance à la main gauche, celle que mon Maître a choisie pour moi. Il me l’a offerte il y a cinq ans, le jour de notre Pacs. C’est un simple anneau, à l’intérieur duquel ...
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