1. NASSIMA ET SES FILLES Première partie NASSIMA


    Datte: 24/06/2018, Catégories: Humour, Inceste / Tabou

    ... se remit à gémir, sentant le mouvement s’accélérer dans son vagin ; elle souleva un peu la tête pour regarder la manœuvre et admira l’engin qui entrait et sortait de sa chatte. Elle sourit en disant « c’est beau ! » reposa sa tête et se remit à faire bouger ses hanches pour nous donner plus de plaisir. Elle me dévisageait en attendant de voir le moment ou j’allais exploser en elle. Ca l’excitait au plus haut point de me voir la tirer avec tant d’ardeur ; de sentir mon manche la pénétrer profondément ; de m’entendre ahaner comme un boxeur qui cogne sur un sac de sable ; de sentir la jouissance monter en moi ; de voir mes traits se tirer, ma bouche s’ouvrir très grand et laisser sortir des torrents de salive. Et puis j’éclatais en lui envoyant plusieurs flots successifs de foutre dans sa chatte, en poussant un interminable gémissement de mourant. Exténué, je tombais sur elle qui resserra ses bras sur moi en m’embrassent tendrement sur tout le visage. Je m’attendais à ce qu’elle jouisse une deuxième fois avec moi. Mais elle ne le fit pas. Elle semblait avoir eu son compte au cours de sa dernière jouissance.Nous restâmes allongés un moment sans rien dire. Et puis elle se remit à me parler de sa vie amoureuse. Elle m’avoua qu’elle avait beaucoup flirté quand elle était jeune, mais qu’elle était restée vierge jusqu'à ce qu’elle se marie une première fois, à l’âge de dix neuf ans. Elle avait beaucoup aimé ce premier mari, qui était beau et fort. Il l’avait totalement subjuguée. ...
    ... Et puis, il était beau parleur ! Si bien qu’elle avait accepté de l’épouser, sans même penser à la vie qu’ils pouvaient avoir ensemble. Il n’avait pas de logement propre et le couple était donc obligé de vivre avec la mère du mari ; une maman méditerranéenne, qui n’avait jamais coupé le cordon ombilical qui la liait à son unique enfant.Sa vie avait été un enfer avec cette femme. Elle était très bien avec son mari, mais la jalousie de la maman lui avait rendu la vie impossible. L’aventure avait tout de même duré deux ans, le temps d’accoucher d’une fille et de souffrir encore plus de l’éloignement de son mari qui s’était avéré totalement immature. Il ne supportait pas la présence du bébé qui, disait-il, lui avait volé sa place. Elle s’en retourna donc chez ses parents. Le temps de trouver un travail (l’inspection des impôts, qu’elle n’a, depuis, jamais quittée) et un logement (de fonction) dans lequel elle avait élevé, seule, sa fille Nawal, jusqu’à son deuxième mariage.Son deuxième mari était encore plus beau que le premier ; et tout aussi viril. Avec lui elle avait atteint les sommets de la jouissance sexuelle. Elle avait fait l’amour avec lui bien avant le mariage. Elle m’avait avoué qu’elle lui avait pratiquement forcé la main pour qu’il l’épouse. Elle savait qu’il était volage et totalement égoïste. Elle n’en avait cure ; elle était folle de lui ! Souvent, il lui arrivait de découcher en prétextant qu’il avait passé la nuit avec des copains, à jouer aux cartes. Elle ...