NASSIMA ET SES FILLES Première partie NASSIMA
Datte: 24/06/2018,
Catégories:
Humour,
Inceste / Tabou
... chaleur qui l’accompagna, mit le feu à mon sang. Mon sexe donnait des signes de folie : il voulait transpercer les tissus du pantalon et de sa robe pour aller se loger dans son intimité. Mon bassin faisait des mouvements latéraux pour faire sentir à ma belle toute l’excitation de la bête. Elle y répondait par un mouvement analogue de son bassin. Comme elle était plus petite que moi, c’est sur son ventre que mon sexe frottait. De temps en temps, elle essayait de se mettre sur la pointe des pieds pour mettre son bas ventre à hauteur du mien. Sans résultat.Sa respiration devenait plus rapide ; des petits sons de désir et de plaisir sortaient de sa bouche. Nous cessâmes nos baisers torrides au moment où elle et moi n’en pouvions plus d’excitation. Nos bouches se séparèrent. Elle s’éloigna légèrement de moi pour fixer l’immense bosse que mon sexe faisait sur mon pantalon. Elle tendit la main pour le saisir à travers le tissu. Au contact de sa main, j’eus un irrépressible gémissement de plaisir. Elle le caressa un peu, me regarda dans les yeux et avec un sourire coquin elle me dit qu’elle le voulait tout de suite. Elle n’attendit pas ma réponse pour commencer à défaire la ceinture, ouvrir le bouton et la braguette et plonger sa main à l’intérieur pour att****r l’engin sous le slip. Elle le sortit tel un trophée et l’admira un moment.- Il me convient totalement ! » fit-elle les yeux brillants de désir.Elle se mit à le palper, le tâter, le caresser.- Tu veux que je le suce ...
... maintenant ? » dit-elle.- Non tout à l’heure ! Maintenant j’ai envie de te prendre et pénétrer en toi ! Je veux te faire jouir comme une folle et jouir en toi comme un fou ! Je veux que tu m’appartiennes tout de suite ! Après on fera l’amour ! Maintenant on baise pour monter au ciel, grimper aux rideaux et jouir comme des bêtes !Joignant le geste à la parole je la soulevai du sol et la déposai sur le lit (en réalité, j’étais tellement excité que je l’y ai jetée et non pas posée). Je farfouillai sous sa robe pour aller à la recherche de son intimité. Je voulais la voir, la toucher, la caresser.- Doucement ! dit-elle, tu vas déchirer ma robe. Laisse-moi l’enlever.Elle se leva et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle se débarrassa de sa robe qu’elle jeta par terre et resta en petite tenue, une espèce de chemise de nuit noire, un string et un soutien gorge. Elle se rallongea sur le lit et me tendit les bras pour que je la rejoigne. Je me suis mis à l’embrasser de partout : sur tout le visage, le cou, les épaules, la gorge. Je tentai de rabattre les deux bretelles qui retenaient l’espèce de chemise de nuit qu’elle portait, pour dégager son opulente poitrine. J’y arrivai avec difficulté, mais quel régal pour les yeux, quand ses seins apparurent ! Ils sortaient des bonnets de son soutien gorge et pointaient fièrement vers le plafond comme deux immenses obus. Ils étaient blancs avec des tétons marron entourés d’une large auréole violacée. Ils étaient imposants. Je tendis mes deux ...