jcr_33 et mir_69
Datte: 24/06/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
prost,
fête,
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
entrecoup,
... m’étais réveillé elle voulut me sucer, mais j’écartai sa tête et je me levai. Elle pleura alors que je m’habillais, elle faisait vraiment une sale gueule avec du fard qui dégoulinait sur ses joues, ce qui faisait qu’elle n’était vraiment pas belle à voir et, en quittant, je me trouvais content d’avoir gardé, tout au plus, zéro souvenir de la veille. Cette année, c’est au bowling de la porte de Vanves. Monsieur Bourdon, qui n’aime pas le hasard (ce dernier ne l’aime pas non plus), avait demandé à Catherine de tout organiser, jusqu’à former les groupes qui allaient jouer ensemble. Ce que ne sait pas Catherine, inconsciente du pouvoir que lui confère Monsieur Bourdon, c’est qu’elle va décider du « qui va coucher avec qui », et par conséquent des alliances et des affinités qui devraient se former, puis des noces, puis des naissances, puis des divorces, et ainsi de suite. De quoi rendre Dieu jaloux, en fin de compte. Ce n’est pas une mince tâche pour Catherine, car à la tour Phallus nous sommes plus d’une centaine. Un directeur, deux chefs de département, des cadres moyens entre vingt-trois et cinquante ans, des jeunes hôtesses téléphoniques non encore délocalisées au Maroc, des animateurs et des bodybuilders (H&F) en attente d’affectation, et trois secrétaires, une par étage. Il y a presque l’égalité Hommes-Femmes, en nombre, du moins. Tout ça pour dire qu’il y a de quoi fucker et se faire fucker, ce n’est pas un tabou à la tour Phallus. Comme le dit si bien Monsieur Bourdon : ...
... GARDONS TOUJOURS UN PAS D’AVANCE. Il oublie d’ajouter : DANS LE VICE. Version hard : DANS LE TROU. La première partie de la soirée est aussi morne, monotone et prévisible qu’un film où il y a Sylvia Saint ou Rocco Siffredi. S’il y a les deux, la métaphore fonctionne encore mieux. Je commence à jouer avec Annie, Paul et Catherine et je perds à tous les coups. C’était prévisible, mais pas à ce point. Chaque fois que je lâche la boule, celle-ci va en courbe, avance douloureusement en tourbillonnant, tombe dans la gouttière qui borde la piste et va s’engloutir dans la fosse noire au bout. C’est certainement de sa faute. J’ai tout essayé (debout, courbé, lent, rapide, jambes pliées, fesses rebondies, le pied gauche qui glisse en arrière, le bras qui pointe vers le sol, et tout ce que m’a conseillé Paul qui, lui, fait presque le plein), mais à chaque fois je loupe et je sue en revenant sur mon siège, forçant un sourire contrarié, furieux à l’idée que les filles puissent penser que je serais jaloux de Paul, une pédale, qui plus est. Mais elles ne le savent pas, ce qui me calme. À un moment donné, sur la piste à côté, il y a une belle fille avec une petite jupe de chez Zara ou Tati à ras la culotte qui commence à pleurer. Puis soudain elle s’éjecte de son siège et, en faisant une mine incroyable elle court à une autre piste, tout au bout, tout ça en pleurant et en criant « Jacques, Jacques ». Et, arrivée à Jacques, elle se jette sur lui, le serre dans ses bras et l’embrasse sur le cou, ...