jcr_33 et mir_69
Datte: 24/06/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
prost,
fête,
Masturbation
intermast,
facial,
Oral
pénétratio,
entrecoup,
... sous le menton, sur la bouche, n’importe où. D’ailleurs, il paraît que Jacques n’avait rien fait de particulier, ce qui souligne l’insoutenable stupidité de son geste. Ceux qui jouent avec elles disent qu’elle a trop bu, et une autre conne, une vraie moche celle-ci, renchérit qu’elle ne l’a jamais trouvée normale. Voilà tout ce qu’il y a à signaler dans cette première partie de la soirée. Vient la pause, comme un bouillon d’espoirs. Monsieur Bourdon, qui a enlevé sa cravate et retroussé les manches de sa chemise Lacoste saumon fumé, nous fait un speech enflammé d’une demi-heure, durant lequel je me serre les mâchoires pour ne pas bailler. On se permet tout à la tour Phallus, mais quand le patron parle, on est prié d’écouter. L’on n’entend que lui, et lorsque ce n’est pas lui ce sont les mouches qui susurrent, ou le barman qui tousse. Parce que la moindre vache qui meugle sait qu’elle va se faire artificiellement enculer, puis c’est à la société libérale de se charger de la transformer en steak haché, ou en poudre pour cosmétiques, au choix. À la fin de son discours, Monsieur Bourdon lève son poing serré vers le ciel (en fait, c’est le plafond) et crie trois fois « À VOUS L’AVENIR » (sous-entendu : à moi le fric), et tout le monde se met à applaudir pendant au moins trente secondes, alors il le répète encore trois fois sous le vacarme des cris et des applaudissements, et lorsque par ses mains il tente de nous apaiser nous applaudissons encore. Enfin il nous invite au ...
... cocktail-dînatoire, à côté du bar, tout au fond. C’est beau, chaud et pathétique, un épanchement de sentiments et de transports, tous plus artificiels les uns que les autres, en plastique (fabriqués en Chine), car tout le monde sait que c’est peut-être la dernière soirée de direction de Monsieur Bourdon, et que la guerre de succession est lancée. Ensuite, nous faisons d’autres groupes, toujours selon le plan de Catherine, et cette fois je joue avec Claude et Sylvie, et qui est le quatrième ? Annie, bien évidemment. Avec un total respect de la hiérarchie inversée, Claude m’enlève la dernière place. De ce fait, je me sens enfin soulagé, tellement soulagé que mes résultats s’améliorent sensiblement, j’arrive maintenant à faire tomber une ou deux quilles, celles qui traînent seules au bout du régiment. Cela met Claude hors de lui. — Fait chier votre jeu, dit Claude en se levant pour son dernier lancé de boule. Faut être cinglé pour nous ramener tous à cette morgue ! Il peut le dire maintenant que Monsieur Bourdon est parti. Claude se lève seul, avance sur le parquet en chêne luisant et, en gloussant, prend une boule rouge, la seule qui a des trous assez larges pour laisser entrer ses gros doigts. Il avance au ralenti. À la piste à côté, il y a une petite scène de ménage entre Amélie la secrétaire du 33ème et Amel celle du 32ème (ou l’inverse, je ne sais plus) qui s’en va en lâchant sa boule et manque de transformer en pâte molle les orteils et les ongles vernis noirs d’Amélie qui lui crie ...