1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (2)


    Datte: 24/06/2018, Catégories: Zoophilie,

    Curieusement, autant sucer un cheval ne m’avait posé aucun problème, autant la perspective de laisser ce clebs fouiller mon intimité de sa langue me répugnait un peu. Mais je n’avais déjà plus le choix. Stefan me maintenait ferme et me pétrissait les nichons avec une voracité maniaque. Ses mains avaient une extraordinaire habileté... On aurait dit qu’elles ne savaient faire que cela. En même temps sa queue s’était dressée contre mes fesses. Je basculai la tête en arrière et passai mon bras gauche derrière sa nuque. Il me mordillait l’oreille, m’embrassait dans le cou, sur les épaules. Le chien était déjà passé à la vitesse supérieure. Il me léchait rapidement, et mon clitoris s’était à nouveau réveillé. Ma répugnance s’était envolée comme par magie et j’écartai les jambes pour laisser à la langue de l’animal plus d’amplitude. Stefan remarqua ce mouvement. "Oui, abandonne-toi, laisse-toi faire... Tu es magnifique... tu es à nous... n’écoute que ton plaisir... On va s’occuper de toi.... ah dommage que je ne puisse pas faire monter le poney jusqu’ici". Je passai ma main dans ses cheveux, rapidement et, de la droite, je caressai la tête du chien. Désormais, j’étais complètement ouverte. La rapidité comme la taille, autant que la texture de la langue d’Adalbert, me procuraient un plaisir qu’aucun homme ne peut donner J’eus bien vite un orgasme clitoridien. "T’aime ce qu’il te fait, hein ? Et ça tu vas me dire que tu ne l’avais pas déjà fait ? Putain, un cheval et un chien dans la ...
    ... même heure... t’es chaude.... t’es chaude mais j’aime ça. Tu sens comme tu me fais bander là... hein, tu le sens"? Et, pour lui répondre, je passai ma main droite dans mon dos, y rencontrai la bite et commençai à la toucher. Probablement insatisfait de n’avoir que ma chatte à lécher, le chien se dressa sur ses pattes arrières et appuya ses pattes antérieures sur mes épaules. Il faillit nous déséquilibrer d’autant que ses griffes me firent mal et que je reculai. "Je crois qu’il veut te grimper". Et tout en faisant ce commentaire superflu, tant les intentions du cabot étaient manifestes, Stefan nous entraina tous les trois jusqu’au lit. Quand il y fut parvenu, il se dégagea pour me basculer en arrière; je tombai sur le dos et, par réflexe, comme pour me rattraper, je passai mes bras autour du corps de l’animal qui s’effondra pesamment sur moi. Il était presque aussi lourd qu’un homme et je sentis un sexe immense et très dur contre mon abdomen. Il coulait déjà. Le chien se dressa immédiatement et chercha illico l’entrée de l’orifice sans la trouver. "Lucie, relève ton bassin.... attends... prends ce coussin... comme-ça, sous le cul... bien... j’vais l’aider... oh la vache, c’est énorme... pas comme le poney. Il fait bien vingt centimètres... très gros... Ecarte mieux... plus les jambes, sans ça, il va avoir du mal à rentrer...". Mais j’eus beau écarter au maximum, les grassets du chien butaient contre mes cuisses, l’empêchant de me saillir bien à fond. Je pliai donc mes jambes ...
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