1. J'attire tout ce qui a une queue qui pend entre les pattes. (2)


    Datte: 24/06/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... pour les ramener vers moi. Ainsi, il put me pénétrer à fond. L’animal n’offrit bien sûr aucune résistance à ce "coup de main" et je sentis l’extrémité entre mes deux lèvres. Il n’eut alors qu’à se laisser glisser d’un coup, la lubrification de ma moule l’y aidant. Le choc fut terrible, l’intromission brutale, la douleur vive. Je n’eus pas de répis. La bête se mit à pousser régulièrement en avant et je sentis ses couilles flotter contre mes fesses. La base de son sexe gonflait et écartait l’ouverture de ma chatte comme elle ne l’avait jamais été. J’atteignis très vite l’orgasme. La pine du chien était trop bonne. Elle me remplissait le con et pulsait sans arrêt envoyant une petite giclée toutes les deux ou trois secondes. J’avais l’impression d’avoir un mec dans la chatte qui jouirait sans arrêt. Stefan sortit : "Où vas-tu"? - Je reviens. Il ne fut pas long en effet. Il avait pris de vieilles chaussettes pour couvrir les pattes du chien qui me griffaient de temps à autres. Pendant que je jouissais en caressant les flancs massifs du chien qui étaient fermes et solides, Stefan se masturbait. Le chien, lui, était insensible à mon plaisir. Il continuait son travail, et de belle, façon ! Je ne fus pas longue à me prendre un nouvel orgasme. Jamais un homme ne m’avait comblée de la sorte. Bien sûr, le chien était plus statique, encore que ses très très rapides coups de reins fussent très agréables malgré leur faible amplitude, mais il dépassait en dureté ce que l’homme peut ...
    ... atteindre et, surtout, cette bite quei pissait sans arrêt en se gonflant à chaque giclette était un délice absolu. " Tu aimes" ? - L’extaaaaseeeee. xauxttpi - Vraiment ? - Vous n’êtes pas à la hauteur les mecs. Çà c’est du mâle, de la bite. C’est trop bon ! - Voire ! J’prends la place après ! Mais c’est vrai que t’as l’air d’en profiter ma salope. Et comment que j’en profitais ! Je m’accrochais au chien pour le sentir bien au fond et je me demandais pourquoi je n’avais pas cédé à cette tentation plus tôt... Ah, oui ! Je n’y avais juste jamais pensé ! Pour le coup, comme j’en étais rendue à mon deuxième orgasme, le chien finit avant moi. Son éjaculation fut abondante. J’aurais presque pu en compter tous les jets. C’était titanesque. Le chien mit quelques minutes à se dégager, le temps qu’il désenfle. J’en fus soulagée car je commençais à fatiguer d’être la croupe en l’air et les jambes pliées. Mais comme j’étais toujours en train de jouir, je continuai à remuer mon bassin tant qu’il fut en moi. Dès qu’il fut sorti Stefan se précipita sur moi. Il plongea ses doigts dans la chatte d’où je sentais suinter le liquide chaud et gluant. Il en ramassa autant qu’il en put et m’en tartina lentement les poils de la foufoune. Ce doigtage me fit du bien et stimula mon vagin toujours animé de spasmes bienfaisants. " Putain, cousin, qu’est-ce que tu fous? C’est dégueu.." - Pas plus que de l’avoir dans le con. - Ça pue ! - Pas plus que le cheval... ou l’homme... Moi, j’aime plutôt l’odeur... Tu ...