Des achats qui changent tout
Datte: 26/06/2018,
Catégories:
ffh,
fagée,
jeunes,
Collègues / Travail
magasin,
essayage,
caférestau,
amour,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
Résumé de l’épisode précédent :«Un déjeuner perturbant »Nicole, DAF d’une entreprise, cadre un peu coincée, est choquée par la liberté d’esprit d’Eléanore, une jeune intérimaire qui – selon ses dires – aurait une relation avec son patron, fétichiste des bas et des porte-jarretelles. Au cours d’un déjeuner au restaurant, la cadre guindée est excitée à tel point par les confidences de la jeune femme qu’elle se réfugie dans les toilettes de l’établissement pour apaiser le désir qui l’enflamme. __________________________ Toujours dans les toilettes femmes, Nicole tente de reprendre ses esprits, effrayée et honteuse de ce qu’elle vient de faire. Comment elle, si maîtresse de ses nerfs, a-t-elle pu se laisser aller à faire ça dans un tel endroit, se… se branler jusqu’à la jouissance ? Après s’être consciencieusement essuyée la vulve avec le papier toilette, elle remonte sa culotte. Malheureusement le tissu, trempé de mouille, colle à son entrecuisse. Elle dépose quelques feuilles de papier pour isoler la peau du coton. Bien que perturbée comme jamais par ce qui vient de se produire, elle prend conscience qu’elle se sent bien mieux ; la tension nerveuse qui la nouait a disparue. Rectifiant son maquillage pour se donner une allure sereine, elle réalise qu’Eléanore l’attend depuis un bon moment à cause de cet instant d’égarement coupable… De retour à leur table, Eléanore se demande si elle n’est pas allée trop loin dans la provocation. Un peu inquiète, elle demande : — Nicole, ...
... allez-vous bien ? Vous n’avez pas été malade, j’espère.— Non… pas du tout. Excusez-moi de vous avoir fait attendre ; je vais même très bien. Nicole réalise qu’elle a répondu un peu vite. Pourquoi avoir ajouté le mot "très" ? La jeune femme pourrait penser que leur conversation lui a beaucoup plu. — Bien. Il est temps de retourner au bureau. Allons-y. Les feuilles de papier toilette qu’elle a disposées dans l’empiècement de sa culotte la démangent. Elle tente de marcher normalement, avec l’impression que tout le monde la suit du regard. Sorties du restaurant, Eléanore saisit la main de Nicole et, se mettant sur la pointe des pieds, elle pose un baiser appuyé sur la joue de sa directrice. — Merci pour ce repas et cet excellent moment passé avec vous. Nicole, confuse et peu habituée à ce genre d’effusion, finit par sourire en pressant la main de la jeune femme.« Finalement, je l’aime bien cette stagiaire ! » — Vendredi, à la sortie du bureau, je vais faire un peu de shopping ; voulez-vous m’accompagner, Nicole ?— Euh… je ne sais pas… Les enfants vont m’attendre.— Nicole, s’il vous plaît, j’aimerais beaucoup… J’ai besoin de conseils pour une ou deux jupes.— Bon, d’accord, nous sortirons un peu plus tôt.— Super ! o o o O o o o De retour au bureau, Nicole ne peut se concentrer sur son travail. Elle a dû aller voir le boss à deux reprises. Chaque fois qu’elle est entrée dans le bureau, elle ne pouvait que penser à la scène racontée par Eléanore, imaginant la jeune femme le collant et la ...