Des achats qui changent tout
Datte: 26/06/2018,
Catégories:
ffh,
fagée,
jeunes,
Collègues / Travail
magasin,
essayage,
caférestau,
amour,
BDSM / Fétichisme
nopéné,
... préférez. Je connais ce regard qu’il a lorsqu’il veut une femme ; et la manière de vous regarder, de vous complimenter, de suggérer la couleur des bas et du porte-jarretelles : il veut que vous soyez sexy, bandante…— Eléanore, voyons ! Je ne suis pas cette sorte de femme qui… La jeune femme ne la laisse pas terminer sa phrase ; elle repousse Nicole dans la cabine d’essayage puis, à l’abri du rideau, elle la plaque contre la paroi, lui saisit les hanches, colle ses lèvres contre celles de sa supérieure qui, complètement dépassée par les évènements, se laisse faire. Alors la jeune femme en profite : elle force les lèvres de Nicole, enfonce sa langue, l’embrasse à pleine bouche dans un baiser torride, seins contre seins ! Lorsqu’Eléanore relâche enfin son étreinte, subjuguée par ce baiser délicieux, Nicole reste adossée à la paroi, les bras ballants. La tête lui tourne, son cœur bat la chamade. Elle réalise qu’elle a été passive… Non, bien pire : elle a participé au baiser, elle a enroulé sa langue à celle de la jeune femme. Une femme… elle a embrassé une femme ! Jeune, en plus ! — Allons voir la lingerie, dit Eléanore en partant vers le rayon des dessous féminins. Nicole reste sans voix. Elle récupère son sac, son manteau, la poche dans laquelle se trouve la jupe à boutons-pression et le pantalon qu’elle portait en arrivant. Puis elle file rejoindre Eléanore, réalisant qu’il n’est pas si difficile de marcher avec ces escarpins aux talons très hauts qui lui embellissent les ...
... jambes. o o o O o o o Le week-end a été très perturbant pour Nicole. Les évènements du vendredi soir la troublent profondément. Les achats de jupes, escarpins, et surtout des bas et porte-jarretelles selon les désirs du boss, le profond baiser d’Eléanore, tous ces évènements l’ont mise dans un état d’extrême nervosité. Le boss la trouve ravissante, il la veut sexy ! Les deux nuits du week-end ont été agitées, très agitées. Elle a dû se masturber à de nombreuses reprises avant de pouvoir trouver le sommeil, s’imaginant baisée sur le bureau du boss, enfilée par la grosse bite – c’est bien le terme employé par la stagiaire – une bite bien dure dans la chatte. Elle a répété le mot "bite" une bonne dizaine de fois en se caressant. Elle se voit la prenant profondément, elle, la mère de famille sage et pieuse, courbée sur le plateau de verre de la table de travail du boss, les seins à l’air, en gémissant « comme une… comme une… salope ! Comme une salope dépravée faite pour être baisée par les hommes, tripotée par Eléanore… par une femme ! » Un, puis deux orgasmes se sont succédés, la rendant trempée de sueur, mais enfin apaisée. Dès que les enfants ont été couchés, elle a essayé le porte-jarretelles et les bas choisis avec Eléanore, les escarpins aux pieds. Elle a enfilé la jupe à boutons puis, assise sur une chaise, face au miroir de sa chambre, elle s’est observée, croisant et décroisant les jambes. Enlevant le bouton du bas de la jupe, elle a tenté de savoir si le haut de ses bas ...