Christine VI : Midlife Crisis (11)
Datte: 26/06/2018,
Catégories:
Hétéro
Le vendredi 15 mars débute avec une excellente nouvelle : le poste d’assistante à 50% que j’avais réclamé pour me soulager du travail administratif a été accordé. Je demande à Mélissa de passer dans mon bureau. Je ne tourne pas autour du pot et lui propose le poste. Blanche, elle répond : — Merde, je viens de refuser un autre poste fixe à 50% pour le 1er avril ! — Appelle ! Vite ! Mélissa compose le nom de l’agence et parvient à joindre l’homme qui l’avait appelé la veille. Le poste n’est toujours pas attribué quand bien même il a été proposé à plusieurs personnes. Mélissa annonce qu’elle le prend si l’autre employeur accepte qu’elle fasse un 50% chez nous. L’agence doit la rappeler d’ici dix minutes. Elle va chercher son portable et revient dans le bureau : — Merde, je ne t’ai pas demandé quels jours tu as besoin de moi ! Nous sommes rapidement fixé avec les exigences de l’autre employeur et Mélissa continuera de travailler dans notre entreprise le mercredi après-midi et jeudi et vendredi en journée complète, ce qui me convient très bien. Elle me saute au cou et se met à pleurer : — J’y crois pas ! C’est trop parfait ! Je reste ici, j’ai un autre 50 et il n’y a qu’un seul jour où je dois aller d’une boite à l’autre ! Elle lève le visage vers moi et nous nous embrassons rapidement. Nous décidons de manger ensemble à midi, mais pas au restaurant. Profitant du soleil, nous partons nous balader à la campagne. Mélissa s’ouvre : — Florent, il faut qu’on ralentisse le rythme tous ...
... les deux. J’ai… je me sens bien avec toi… Trop bien en fait, si tu vois ce que je veux dire. Ces deux derniers jours, je me prends un peu la tête, j’imagine des choses qui n’arriveront jamais. La nuit ensemble, mardi, a été aussi divine que perturbante car ce n’était plus du sexe. Je me suis dit que tu étais là parce que tu te sens bien avec moi et pas uniquement pour me sauter. — Je comprends tout à fait ce que tu veux dire. Oui, je me sens bien avec toi. Mais tu as raison, il ne faut pas que tu commences à te faire des films. — J’adore coucher avec toi et c’est affreux à dire, mais j’aimerais qu’on se limite à ça. Je ris, elle aussi. Nous arrivons alors vers un banc sur lequel nous nous asseyons. — Je vais travailler où, au fait ? — Je vais voir si tu peux conserver ta place actuelle. Dans le bureau, c’est trop petit pour y ajouter un bureau et je ne pense pas que ça soit judicieux d’être dans la même pièce vingt heures par semaine. Personnellement, ça me ferait perdre beaucoup de concentration. Mélissa sourit. Je poursuis : — En plus, dans un premier temps, je ne vais pas pouvoir t’employer à 50% et tu continueras à faire quelques tâches actuelles. — Ça me convient parfaitement. — Ne te réjouis pas trop vite. Je suis un chef intransigeant et tyrannique. Elle rit : — Oh ! Tu en as l’air ! — Lève-toi ! Le sourire aux lèvres, Mélissa s’exécute. — Montre-moi ce que tu portes sous ta jupe ! Elle regarde à droite et à gauche puis soulève le tissu. Collant et string. — Une règle ...