Christine VI : Midlife Crisis (11)
Datte: 26/06/2018,
Catégories:
Hétéro
... importante du bureau : on ne porte rien sous un collant. Il se suffit à lui même. Elle rit à nouveau : — J’en prends bonne note. Les contrôles seront quotidiens ? — Oh non, tout à fait aléatoires ! C’est bien plus excitant ! — Je crois que je vais adorer travailler avec toi. Compte sur moi pour m’en souvenir ! Je ris. Elle se rassied et nous nous embrassons. En fin de journée, je passe chez elle. Je n’y reste qu’une demi-heure, juste le temps de coucher avec elle. Le lundi 19 mars en fin de journée, Mélissa signe son nouveau contrat. Avant de sortir de mon bureau, elle dit : — On fête ça chez moi ? — Tu m’invites ? Elle me fait un clin d’œil. — Juste un moment. Nous baisons magnifiquement au soleil couchant. Le lit, la baie vitrée, le soleil, un endroit juste parfait pour faire l’amour. Je file rapidement. Le lendemain, Mélissa me dira qu’elle se sent mieux quand je pars juste après. Que demande le peuple ? Mardi 20, à midi, je vais manger avec Barbara. A table, elle ne laisse rien paraitre de ses soucis personnels et nous retrouvons rapidement notre vieille complicité. Elle dit que ça va lorsque je lui demande comment vont ses enfants et son partenaire. Je fais de même quand elle prend des nouvelles de ma famille. Au moment où nous sortons du restaurant, je lui dis que je regrette qu’on se soit un peu éloigné l’un de l’autre, mais que je suis toujours là en cas de besoin. Elle m’enlace, ses yeux se sont embués. Elle force un sourire : — Peut-être une autre fois… Tandis que ...
... Mélissa part une semaine en vacances, je me rends compte à la maison que je suis de plus en plus curieux de savoir si Christine entretient elle aussi une relation. Ou peut-être des relations. J’aborde le sujet durant le week-end. Mauvaise pioche, je me fais rembarrer : "Ce ne sont pas tes affaires.". Clair, net et précis. Le mardi 26 mars, je vais boire l’apéro avec Barbara puis nous allons manger une pizza. C’est à ce moment-là qu’elle me raconte sa situation en détails. Ce que Mélissa ne sait pas, c’est que Barbara cherche activement un appartement car elle et son partenaire ont rompu fin février. Elle pleure énormément et nous partons sans attendre. Nous marchons tranquillement, il fait doux, mais Barbara n’est pas bien. — Je n’ai pas envie de rester là. On continue la discussion à la maison ? Il n’est pas là ce soir et les enfants sont chez leur père. Il y a longtemps que je n’étais pas venu chez eux. La maison est magnifique, vaste et moderne. Nous nous installons dans le canapé et Barbara sèche ses larmes sur mon épaule. Je la console, l’enlace avec douceur. Quand elle me demande si ça va de mon côté, je lui déballe tout également. Quand je termine, elle a un petit rire ironique : — Nous voilà bien, tous les deux… Pendant que j’évoquais ma situation, Barbara était venue s’asseoir entre mes jambes et j’avais passé mes bras autour d’elle, tendrement. J’avais embrassé à plusieurs reprises sa tête et caressé ses bras. — Si j’ai bien compris, chez toi non plus il n’y a pas ...