Kevin (épilogue) - Histoires de Sexe

Kevin (épilogue)

Kevin (épilogue)Pensez-vous qu’il est resté assis, sans rien dire et sans rien faire ? Au contraire, il se leva aussitôt et me suivit comme un chiot suivrait sa maman chienne. Une fois dans la salle de bain, je voulus fermer la porte à clé mais il m’en empêcha plaçant sont pied sur l’encadrement :- S’il te plait, Kevin… N’entre pas ! Ce n’est pas beau à voir…- Qu’est ce qu’il n’est pas beau à voir ? Tout ce que je vois, chez toi, me plait.- J’ai mes règles… J’ai besoin de me nettoyer d’urgence… Sors, s’il te plait.- Please, Sandra… Laisse-moi regarder !Je ne pouvais pas attendre, tellement ça coulait dru, mais je devais laver mes mains, d’abord. Il non plus, il ne pouvait plus attendre. Profitant que j’étais penchée, les mains dans le lavabo, il se plaça derrière moi et saisit mes seins avec les deux mains, poussant son caleçon contre mes fesses :- Tu es sourd ou quoi ?- Oui ! Je ne veux entendre rien d’autre que tes gémissements, comme ce matin.- Ce matin c’était ce matin et maintenant c’est…Je venais de lever mon regard vers le miroir et vit sa tête d’adolescent excité et ses yeux qui fixaient mes nichons pressés entre ses mains, mes auréoles et tétons faiblement gonflés, comme à chaque fois que j’avais mes menstruations.- Alleeez ! Laisse-moi faire ! Luis dis-je en lui jetant un peu d’eau sur la figure.Il obtempéra, s’assit sur le rebord de la baignoire et me regarda faire, avec un sourire béat dessiné sur son visage. Je m’assis sur le WC et, comme la première fois, je ...

... me suis mise à pisser, mais sans lui montrer, les jambes serrées. Il se caressait le sexe, par-dessus son boxer, sans rien dire.- Passe-moi le paquet de lingettes qu’il y a dans le premier tiroir, s’il te plait.Il s’exécuta et s’approcha de moi pour me le donner, son boxer gonflé à quelques centimètres de mon visage :- Va t’asseoir là où t’étais, lui ordonnai-je- A vos ordres, belle-maman !- Chut ! Parle plus bas…Je m’étais nettoyée sommairement. Dans ma tête, c’était décidé : j’allais me donner à lui ! Mais, pas tout de suite… J’allais le faire attendre ; j’allais porter son excitation au paroxysme :- Va éteindre la télé, s’il te plait… Comme ça, on pourra l’entendre, s’il descend.- Ouééé ! ça veut dire que…- Bien sur, gros bêta ! C’est bien ton anniversaire, non ?Quand il fut de retour, quelques secondes plus tard, il me trouva assise sur le rebord du lavabo, les jambes écartées, les pieds appuyés contre les latéraux, l’un sur le radiateur chauffe serviettes, l’autre sur la porte. Il fit le geste de s’accroupir pour me lécher une nouvelle fois, mais je lui indiquai d’un mouvement négative de ma tête que ce n’était pas ça ce que je voulais de lui :- Maintenant, prends-moi, Kevin !Il enleva son t-shirt et baissa son boxer. Comme un ressort longtemps compressé, son sexe se libera, droit et raide comme une matraque. Il posa son gland tumescent à l’entrée de mon vagin, sans trop oser me pénétrer, d’abord parce qu’il n’était pas encore si expérimenté pour savoir quels étaient les ...