1. Kevin (épilogue)


    Datte: 26/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... ne m’endormais tout de suite, j’allais avoir un mal de chien à me réveiller. Mais, j’avais du mal à m’endormir. Plein d’images parcourent mon cerveau, toutes plus excitantes les unes que les autres. L’odeur de Kevin était imprégnée en moi. J’aurais du passer à la douche, rien que pour me rincer un peu… Mais, bon… Finalement, un sommeil de plomb alourdit mes paupières et je sombrai dans le temple de Morphée, comme un bébé…-----------A 9h du matin, j’ouvris les yeux. Joël n’était pas à mes cotés. Je n’entendais aucun bruit dans la maison. On devait se mettre en route vers 7h ou 7h30, grand maximum. Bizarre, pensai-je. Je mis la robe de chambre et descendis en bas. Il n’y avait personne. La première chose qui m’était venue à l’esprit fut qu’ils avaient décidé de partir seuls, sans moi, étant donné que je leur avais fait part de mon aversion pour ce genre de parc d’attractions. Quand même, pensai-je, il aurait pu me réveiller et me le dire, non ? Bon, c’est comme ça, fut ma conclusion.Je me suis préparé un bon café et, après l’avoir bu, je suis passée à la douche. L’eau chaude sur mon corps réveilla mes instincts les plus coquins et, presque sans m’en apercevoir, je me suis trouvée en train de me caresser, projetant le jet d’eau chaude là où il fallait, tout en imaginant ...
    ... les cochonneries que dès demain, et pendant quelques matins, en l’absence de son père, pourrais-je faire avec Kevin. Deux bons orgasmes matinaux et c’est parti, mon kiki !Je mis mon poste MP3 à fond pendant je m’étalée du lait hydratant de partout. Je mis un nouveau tampon en l’enfonçant profondément dans mon vagin et en me regardant le faire sur la glace du lavabo. Ils devraient fabriquer des tampons vibro-masseurs, songeai-je, en tirant de la cordelette. Et puis, je vais enlever tous ses poils, me dis-je en tirant avec mes doigts de ma touffe pubienne. Je finis la séance de vanité féminine en lançant, sur ma propre image, un clin d’œil canaille :- Sacrée salope !Ce fut en montant à la chambre, que je la vus. Une petite note, posée sur la table juste à coté de la porte d’entrée. Une sonnette d’alarme s’était activée « ipso facto » dans ma cervelle. Je la pris dans mes mains et je la lus :Sandra. Je ramène Kevin chez sa mère. Inutile de m’appeler. Ne m’attends pas.JoëlLe choc fut brutal. Je tentai de l’appeler, quand même. De lui envoyer mille et un sms. Rien.Trois jours après tombait la nouvelle dont je vous parlais au début de cette dernière partie. La mammographie et les analyses effectuées une semaine auparavant étaient concluantes : j’avais un cancer du sein.Sandra M. 
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