Candaulisme, quand tu nous tiens...
Datte: 23/07/2017,
Catégories:
fhh,
... années, à faire franchir le pas à ma compagne. Bon week-end, calme, à la maison. Lundi : bureau, pas d’appel. Mardi : réunion, donc pas de portable. Retour au bureau ; tiens, un message : « Bonjour, c’est Corinne. Vous pouvez me rappeler ? » M : — Bonjour, Corinne ; merci de m’appeler. Ça va ? C : — Je vous avoue que j’ai longtemps hésité à vous appeler et que je suis un peu penaude. Dès votre départ, Jérôme m’a posé plein de questions : Est-ce lui qui a enlevé tes sous-vêtements ? T’a-t-il embrassée ? Enfin, plein de questions. C’est à croire que vous avez raison : nous avons passé un week-end d’amants fous. C’est dingue, et j’ai du mal à comprendre. M : — Non, ne cherchez pas ; profitez des instants et définissez une règle : jamais l’un sans l’autre, et faites-le quand vous en avez envie. Inscrivez-vous sur un site sérieux ; et surtout, il ne faut pas que cela devienne une obligation. C : — Euh… Vous seriez libre quand ? Mais si on vient à faire quelque chose, pas de pénétration entre vous et moi. M : — En ce qui concerne votre dernière remarque, c’est selon ce que vous ressentez ; je ne suis pas « mort de faim » et attache plus d’importance à l’érotisme de l’instant qu’à la finalité qui en découle. Quant à ma disponibilité, disons ce jeudi ; mais toujours pareil : le plus tôt possible, et si tout le monde peut, vers les 17 heures, c’est bien ; je ne veux pas pénaliser la vie de mon couple. Jeudi matin, appel de Corinne : C : — Une précision, comme vous l’avez souhaité ...
... : j’ai dit à Jérôme que c’est vous qui aviez enlevé ma culotte, histoire de voir comment il allait réagir. M : — Et alors ? C : — « Je suis fier de toi, ma puce ! » m’a-t-il dit ; j’avoue être un peu perdue. M : — Il est fier de vous et veut que les autres le sachent : « Regardez-la, touchez-la, sachez que c’est la mienne ». Je sais : c’est égoïste, assez macho ; c’est de l’anti-jalousie. D’autres maris harcellent leur femme avec une jalousie exagérée, et ça finit toujours assez mal. Alors, relax ; ne vous tracassez pas, laissez venir au gré du temps. Jeudi, tout le monde est à l’heure. J’ai apporté des petits fours, Corinne a fait du café. On s’oriente vers un café gourmand, et pas que pour le café. Corinne est habillée plus sexy qu’à notre première rencontre ; son attitude à mon égard a fait un 360 degrés. On se regarde en buvant le café ; il faut y aller ! Je commence : M : — Dis-moi voir, Jérôme : souhaiterais-tu voir ce qui s’est passé avec Corinne à ma dernière visite ? J : — Oui, pourquoi pas ? Corinne se leva, commença à dégrafer son corsage alors que je me plaçais derrière elle pour œuvrer dans la mission qui était devenue mienne : lui enlever sa culotte. Je remontai doucement les mains pour m’apercevoir à un certain moment que c’étaient des bas qui ornaient ses jambes ; ça y était : je touchais sa peau. Toucher volontaire de l’entrejambe, qui me permit de constater une certaine humidité bienvenue. Tiens, pas de culotte cette fois, mais plutôt un string que je fis ...