1. Suite à votre mèl ...


    Datte: 26/06/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... seulemnt ces transparences qui sous-entendent : il est aussi tellement bon d'assumer avec sincérité, jeter les masques, afficher. Rien ne vaut une mini qui découvre le pli d’une fesse, la chair offerte, soulignée de cuissardes qui font chalouper, tanguer les seins libres sous un chemisier canaille ouvert, vitrine, invite sans fard. [[3 – Est-ce que tu es déjà sortie nue sous ta robe ou ta jupe ?]] Je vous ai déjà répondu, anticipant votre curiosité. Là vous touchez monsieur un plaisir très égoïste ! Avec un peu d’attention vous remarqueriez ces jours-là, puisque oui, ces jours il y a, la lueur, l’étincelle dans le regard, les poses lascives et rêveuses, et soudain le voile de surprise au spasme du ventre qui mouille les cuisses d’inattendu qui vient à la conscience aigüe d’être disponible, accessible. Ouverte. Béance inondée. Comment résister au bonheur du matin qui rougit les joues d’anticipation en renonçant à la culotte que la veille on exposait, et pour une journée se savoir irrémédiablement nue, à merci, d’un rêve, d’une bourrasque de vent, de sa propre image dans une vitrine de rue en se sachant libre d’entrave et offerte, à merci, vraiment, inquiète et fière, soumise au caprice des éléments, d’un frôlement, d’une chute, d’un accident, soumise à l’excitation de tous les instants à n’avoir en tête, permanente, glaçante et brûlante, que cette absence. [[4 – As-tu fait l’amour avec des inconnus ?]] Inconnus ils l’étaient avant, l’étaient moins après mais l’étaient ...
    ... toujours et le sont restés, le resteront. Connaît-on vraiment quand on se connaît si peu soi-même ? L’acte, isolé, brut, n’apporte pas la connaissance de l’autre. Une bouche jamais embrassée, une verge jamais caressée, un vagin jamais pénétré, l’inconnu ? On baise des bites et des chattes, des culs, reconnus, connus, du toucher et du goût, de la forme, de l’odeur, du doux et du chaud. Pas d’inconnu dans les sensations transmises par nos sens. Mais la formule employée était « … fait l’amour … ». L’expression va bien mal à la série de question. Voilà pourquoi j’ai dit : baiser, bitte et chatte, vocabulaire plus conforme au propos. Ici « … fait l’amour … » ne fait pas sens, fait fausse timidité à dire, une tricherie, un mensonge. Parfois on baise, et parfois, c’est vrai, on fait l’amour. Parler de l’un et de l’autre c’est tenir deux discours bien différents. Toujours avec des inconnus. Certains on les aime et les autres moins ou pas du tout. L’un nous met en danger et l’autre pas. Restons correct : parlons de baiser, monsieur, restons-en à l’intention de départ de ce mèl. [[5 – Es-tu allée dans des boîtes échangistes ? 6 – As-tu sucé un type, comme ça, parce que ça te plaisait ? 7 – As-tu fait un jour l’amour pour de l’argent ? 8 – As-tu fait des choses avec un couple ? Des femmes ? Des hommes ? 9 – T’est-il arrivé de te faire tripoter en public par des mains inconnues ? (par exemple dans le métro, lors de réunions où il y avait foule…) 10 – T’est-il arrivé de mouiller « volontairement ...
«1234...9»