Les nièces jumelles (2)
Datte: 26/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... trop gênés par la situation. Surtout que ce n’est pas le porno qui m’a faite jouir, mais bien lui en le regardant se masturber. J’ai si honte, j’ai fantasmé sur sa bite en m’imaginant ce que je voudrais qu’elle me fasse. Je n’oserais jamais l’avouer à personne, ni même à ma sœur. Je prie qu’il ne s’en rende jamais compte, jusqu’à ce que je réalise une chose horrible : quand j’ai jouie, la scène érotique était terminée. Il n’y avait absolument rien de coquin ou d’excitant à l’écran. Il n’est pas idiot, il a dû comprendre. Je panique comme une folle et m’enfuit après lui avoir dit bonne nuit l’air de rien. En atteignant ma chambre, je réalise encore une chose qui étrangement me rassure : cela veut dire que lui aussi a éjaculé en pensant à moi. *** J’espérais que les choses s’améliorent et que je regagne le contrôle. Au lieu de cela, elles se sont empirées. Une de mes nièces m’a surpris en train de me masturber devant un porno. J’ai eu peur qu’elle me traite de gros dégueulasse, au lieu de cela, il s’est passé une chose encore plus étrange : elle s’est jointe à moi pour mater le film. Et moi qui aie cru un moment qu’elle était lesbienne... Nous nous sommes fait jouir tous les deux. J’ai honte de l’avouer, mais ce n’est pas le film qui m’a fait éjaculer, mais les pensées salaces que j’ai eu pour elle. Je suis un pervers, mais comment puis-je résister à l’attrait d’une jeune fille aussi séduisante ? Je suis qu’un homme ! Merde ! Je perds les pédales, au point que j’en suis venu à ...
... m’imaginer qu’elle aussi s’est faites jouir en pensant à moi. Je me fais sans doute des illusions, mais au fond de moi, l’idée me plait alors... je l’entretiens malgré moi. La semaine suivante, alors que sa sœur est de nouveau de sortie le vendredi soir, je me réinstalle dans le salon avec un film porno. Je ne sais pas ce que j’espère. Qu’elle revienne et qu’on recommence ? Ou au contraire me rassurer en réalisant qu’il ne s’agissait que d’un délire d’un soir ? Mon cœur bat la chamade lorsqu’elle fait son apparition. Elle me demande si elle peut encore regarder avec moi. Ce n’est pas sage, je devrais agir comme un père et ne pas l’encourager sur cette voie là. J’accepte pourtant et elle vient s’assoir près de moi. Nous nous masturbons, comme la fois précédente. J’ai encore trop de mal à me concentrer sur le film et ne fais que penser à elle. Je jouis en m’imaginant éjaculer dans sa jeune chatte que j’espère encore vierge. Elle me suit tout de suite après, comme si nous jouissions ensemble. C’est pervers, c’est mal, mais bon sang, j’aime ça. C’est ce qui se rapproche le plus près d’une relation sexuelle que j’ai eu avec une femme depuis des années. Je suis trop en manque. Les semaines passent et c’est devenu systématique, comme une sorte de rituel. Quand sa sœur est en vadrouille le soir, nous mettons un porno et nous nous masturbons. Avec l’habitude, nous sommes de plus en plus détendus ; je déculpabilise. C’est devenu presque quelque chose de normal. Je me convaincs que nous ...