Les nièces jumelles (2)
Datte: 26/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... ne faisons rien de mal, et je laisse libre cours à mes fantasmes. Un jour pourtant, elle franchit une limite lorsqu’elle me demande : — Tonton, ce film est trop bon, je n’en peux plus, tu ne veux pas m’aider à me faire jouir ?! Qu’est ce qu’elle raconte ?! Elle délire ou quoi ? — Comment ça ? — Je voudrais... que tu me touches... — Tu es folle ?! Nous ne pouvons pas faire ça voyons. — S’il te plait, j’ai envie que tu me lèches, j’ai besoin de jouir, tonton. — Se masturber devant un film, c’est quelque chose, mais là, c’est tout à fait différent ma chérie, on ne peut pas faire ça. Putain, je dis ça, et pourtant, qu’est ce que j’en ai envie. Si cela ne tenait qu’à moi, je serais déjà en train de lui brouter la chatte. Si elle continue d’insister, je ne vais pas pouvoir tenir. — Je ne vois pas en quoi, ce n’est pas comme si on faisait l’amour. Puis je te promets de te faire la même chose après. Je me dis non, c’est clairement de l’inceste, qu’elle le réalise ou non. Puis j’ai à nouveau cette image de ce que je l’ai vu faire avec sa sœur. C’en était aussi, et pourtant, je n’ai rien fait contre. Je me mets à hésiter, mon esprit ne raisonne plus clairement, il essaie de me convaincre de passer à l’acte. Je me dis que si elles le font déjà entre elles, quel est le mal à ce que j’en profite aussi ? Je le veux, au plus profond de mon être, pourquoi est-ce que je me fais tant de mal à résister ainsi ? — D’accord ma chérie, lui dis-je, mais rien que cette fois. Elle écarte les cuisses ...
... pour m’inviter à venir, souriante mais tendue. Je ne sais pas ce que je fais, je referme mon pantalon et me lève pour la rejoindre. Je m’agenouille devant son entrejambe, j’ai une vue splendide sur sa délicieuse petite chatte déjà pleine de mouille. J’en profite pour l’admirer. Elle est si belle, la foufoune de ma petite nièce adorée, celle sur laquelle je fantasme depuis maintenant plus d’un mois. Je n’en peux plus, j’ai besoin de la gouter. Je me précipite pour la lécher, je récolte son jus d’amour avec ma langue. Elle est délicieuse, il m’en faut plus. Je joue avec ses lèvres avant d’aller titiller le clitoris. Il est déjà très gonflé. Elle gémit, cela m’excite de lui faire du bien. Je veux aller plus loin, je veux la rendre folle avant de la faire jouir. Je veux qu’elle se souvienne de ce moment pendant longtemps, car moi, je sais que je ne risque pas de l’oublier. Je redescends pour la pénétrer avec ma langue, je vais aussi loin que je peux aller comme si c’était une bite. J’aspire pour avaler sa cyprine qui coule abondamment, puis je ressors pour parcourir à nouveaux les parois de son vagin. J’évite autant que je peux les zones érogènes, je cherche à la frustrer un peu. Je tourne autour de son clito sans jamais le toucher. Lorsque je le sens à l’agonie, je la prends par surprise en le lui pinçant avec mes lèvres avant de le sucer ; son corps ondule sous les sensations. Je fais monter son plaisir avant de l’abandonner pour lui laisser le temps de se calmer. Je répète mon ...