La Muse (1)
Datte: 23/07/2017,
Catégories:
Divers,
La Muse Préface Vous allez plonger avec Jennifer dans son journal intime et revivre avec elle quelques épisodes de sa vie d’adolescente et de jeune femme. Vous partagerez ses aventures coquines, ses amours, ses joies, ses peines, ses interrogations, ses angoisses et ses rencontres, dont celle avec un artiste dont elle était devenue la muse. Vous la découvrirez face à son mal-être d’adolescente et son premier amour déçu, puis remonter la pente par la découverte du plaisir charnel et devenir la muse d’un artiste. Aujourd’hui, elle a trente ans ; mariée et maman de deux jolies têtes blondes, Laura trois ans et Nathan cinq ans. Les deux amours de sa vie qu’elle a eus avec Mathieu, son mari depuis deux ans. Physiquement, avec son visage fin, ses yeux bleus, sa chevelure blond platine, son mètre soixante-dix et ses cinquante cinq kilos, elle est – comme le dit sa mère – « une belle plante ». C’est en faisant du tri dans ses cartons d’ado qu’elle mit la main sur son journal intime ; elle va nous le dévoiler et le commenter. PS : Pour être en accord avec les règles du site, il n’y aura pas d’actes sexuels tant qu’elle n’aura pas atteint la majorité ; elle parlera juste de ses petits flirts d’ados. Chapitre 1 : Mon journal Aujourd’hui, il fait beau. « C’est décidé : je vais faire du tri dans les cartons qui sont entassés au grenier ! » Cette idée, cela fait des mois que je me la répète, mais rien n’est fait. Il y en a tout un tas que nous n’avons toujours pas ouverts depuis que nous ...
... habitons dans cette maison ; quand je dis « nous », je parle de moi, de mon mari Mathieu, et de mes deux petits chéris Nathan et Laura. C’est le week-end ; les enfants sont en vacances chez mes parents, et Mathieu en déplacement pour son travail en Angleterre. Il ne rentre pas car il doit rester encore une semaine, et il veut aussi assister au match de rugby France/Angleterre à Londres ; je vais donc passer ces deux jours seule et en profiter pour faire ce maudit tri. Après avoir pris mon petit déjeuner, je m’habille : un vieux jogging fera l’affaire. Comme je suis seule, j’aurais pu le faire en petite tenue, mais comme je ne suis pas très copine avec certains insectes qui habitent le grenier, je préfère avoir un minimum de protection ; je prendrai une bonne douche après. Je monte au grenier par l’escalier escamotable situé au plafond du garage, et je découvre tout un joyeux bric-à-brac : des vélos, une poussette et des cartons. Certains ouverts, tandis que d’autres complètement éventrés ont vomi leur contenu sur le sol. Je me demande par où commencer. D’un coup d’œil circulaire j’évalue la masse de travail quand mon regard se fixe sur une pile de cartons impeccablement rangés. Sur le côté de l’un d’eux, un « JEN » inscrit au feutre noir me rappelle qu’il s’agit des cartons contenant mes affaires d’adolescente. « Eh bien voilà, ma fille ! Tu vas commencer par ceux là. » La réflexion est évidente, sauf que dans le grenier il règne une chaleur étouffante. Je vais tout descendre ...