Ma voisine de bureau
Datte: 27/06/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
noculotte,
Oral
pénétratio,
... mon bureau ; chouette ! Seulement, je venais de me faire cataloguer « gros pervers » car elle n’a pas manqué de constater que j’ai avidement reluqué son derrière. —ooOoo— Durant les jours qui ont suivi, nous nous rencontrions régulièrement ; les sourires et les regards évoluaient. Ils se faisaient parfois plus insistants, mais aucune occasion de lui parler ne se présentait. J’enrageais de mon manque de témérité ! Heureusement, le destin… — Bonjour, c’est le service courrier ; vous avez un colis.— Merci. J’arrive le chercher. Comme d’habitude, je suis passé à l’aller comme au retour devant son bureau. À chaque fois, je jetais un œil pour tenter de l’apercevoir. Elle ne semblait pas être là. Tant pis ; j’avais un colis à aller chercher. Chargé de mon carton, je m’en suis retourné « chez moi ». Le hasard a voulu que mon paquet s’éventre juste devant sa porte et juste au moment où elle sortait. Bloquée par ce parterre de brochures, la belle entreprit de m’aider à tout ramasser. Je me fondis en plates excuses, l’implorai de ne pas se déranger et osai finalement tout en rougissant : — Laissez-moi vous remercier ; je vous invite à prendre un verre.— OK, avec plaisir.— Super ! 19 heures en bas de l’immeuble ?— Parfait. Si je n’avais pas eu les bras chargés, j’aurais sauté de joie ! Les minutes furent longues jusqu’au moment de notre rendez-vous. Comme prévu, nous nous sommes retrouvés à la sortie du bâtiment ; je l’emmenai dans la grande brasserie du coin. Sur le chemin, j’appris ...
... enfin qu’elle se prénommait Karine. Installés l’un en face de l’autre, j’ai découvert une fille charmante, simple, nature et incroyablement sexy ! Tout comme moi, Karine était prestataire ; elle assurait une partie de l’assistance informatique du groupe. Elle était ici depuis à peine dix jours de plus que moi, et à part quelques collègues bourrus, elle n’avait pas grand-monde à qui parler. — Je suis bien tombé, donc ? Enfin, mes brochures plutôt.— Oui, c’est le cas de le dire ! rit-elle.— Promis : je ne l’ai pas fait exprès.— Ah oui ? Je n’en suis pas si sûre…— Je ne dis pas que je ne suis pas content que ce soit arrivé ; mais quand je promets… C’est un véritable hasard, croyez-moi !— Je ne suis pas mécontente non plus. Tu peux me tutoyer. La conversation s’est poursuivie sur un ton plus banal. Nos goûts, nos passions, nos métiers. De temps à autre, nos doigts s’effleuraient, provoquant chez moi des décharges électriques euphorisantes. Durant cet épisode bienséant, j’avais le sentiment que nos yeux se disaient des choses moins sages ! Je m’éloignai… — Ça va ? Tu as l’air ailleurs ? Expulsé de ce merveilleux songe, je ne puis qu’avouer : — Oui, excuse-moi ; je rêvais.— Au vu de ton expression, ça avait l’air d’être très agréable.— Fais-moi confiance, ça l’était !— Tu me racontes ?— Euh…— Une prochaine fois ; je vais être en retard : je t’ai dit que je vois ma frangine, ce soir. Sauvé par le gong ! Je la laissai donc partir à son rendez-vous, non sans avoir obtenu la promesse d’un ...