Ma voisine de bureau
Datte: 27/06/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
noculotte,
Oral
pénétratio,
... dîner dans les prochains jours. — Appelle-moi et on bloque une soirée, dit-elle en me claquant la bise. Puis elle disparut au coin de la rue. « Arrrghhhhh, je n’ai même pas pris son numéro ! » Chose réparée dès le lendemain matin. Nous en avons profité pour nous mettre d’accord sur la date de notre soirée. Ce sera vendredi. Vingt-quatre heures à attendre ! C’était un peu trop long pour moi ; c’est par textos que je maintins le contact : Après ces échanges prometteurs, il me fallait éteindre l’incendie. Direction la petite sallemachine à café où je m’envoie deux ou trois verres d’eau glacée à la fontaine. Je n’étais pas le seul à avoir eu ce besoin : Karine apparut peu après. L’attirance était irrésistible. Nous nous sommes embrassés furieusement. Je la plaquai contre le mur et l’attirai à moi par la taille. Elle était beaucoup moins passive que dans mon rêve, et caressait mon sexe à travers mon pantalon, me mordait les lèvres. Cela devenait sauvage. Je longeai son corps de ma main pour m’immiscer sous sa robe. Elle me facilita le passage. J’écartai le tissu qui me gênait et pris possession de son sexe. Mon pouce chatouillait son clito tandis que deux doigts s’enfonçaient en elle. Elle gémit ; sans perdre de son agilité, elle avait ma queue en main et me branlait sans retenue. J’étais à deux doigts d’en mettre un troisième lorsque nous entendîmes du bruit. Avec une rapidité étonnante, nous nous sommes décollés et avons retrouvé une allure normale juste avant qu’un groupe de ...
... trois types n’entre pour profiter de leur pause-café. À part nos joues rouges et nos sourires complices, rien ne laissait soupçonner ce qui venait de se passer. De retour, je relançai la conversation via SMS : —ooOoo— Vendredi soir arriva vite, finalement. Je l’attendais ; elle avança vers moi, très classe. Elle portait une robe fourreau noire assez moulante mais très sobre. Un petit gilet recouvrait ses jolies épaules. Nous nous sommes dirigés vers ma voiture. — C’est un peu loin, et on sera plus au chaud. Une fois dans le véhicule, Karine planta ses yeux dans les miens et me demanda : — Alors, tu t’es lavé les mains, hier ?— Hélas oui, il a bien fallu.— Tu sais, je n’ai rien d’autre que ma robe sur moi ; si tu veux re-goûter… Je ne me suis pas fait prier : durant tout le trajet, ma main droite alternait entre le levier de vitesses et son minou offert. Le dîner fut un moment enchanteur. Nous étions pressés, mais en même temps nous faisons durer l’attente. Régulièrement, je passais ma main droite sous mon nez, accompagnant ce geste d’un regard coquin à ma future amante. La coquine me répondait en humectant ses lèvres lascivement. Sur le chemin du retour c’est elle, cette fois-ci, qui joua avec mon sexe. Arrivés devant chez elle, il était entendu que l’hypocrite « Tu viens prendre un dernier verre ? » était superflu. Nous étions dans son appartement. Karine nous préparait des boissons. Je vins me coller à elle. Ma main droite dégagea ses cheveux ; j’adorai embrasser sa nuque. ...