1. Une adorable blondinette


    Datte: 28/06/2018, Catégories: fh, fête, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, init, tutu,

    Nous nous sommes rencontrés de façon tout à fait conventionnelle, une nuit du Beaujolais nouveau, alors que tu faisais un échange universitaire. Durant cette soirée d’une grande distinction, ton accent nordique, tes formes généreuses et la blondeur de tes cheveux concrétisaient mon fantasme de la Suédoise. Au cœur du vignoble beaujolais, dans cette pure célébration de la franchouillardise, tes amies et toi étiez si contentes de découvrir ce que vous pensiez être la vraie France ! Il ne te manquait plus que le béret, que tu es venue cueillir sur ma tête. Comment nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre, je ne m’en souviens plus. Seuls me restent en mémoire les baisers fougueux qui ont suivi et le regret de devoir te laisser partir, non sans avoir noté ton numéro, bel exploit au vu de notre état au milieu de la nuit ! Mais n’avions-nous pas tous bu très généreusement un remarquable saint-amour, en prélude à cette soirée ? Quand nous nous sommes retrouvés, un mois après, au cœur de Lyon, dans ce quartier Saint-Georges qui te faisait rêver, à mille lieues des immeubles design de ta capitale, j’avais convoqué tout l’héritage culinaire de la France pour te séduire, toi ma grande gourmande. Tes yeux pétillaient, à l’instar de ce champagne qui te grisait et n’allait pas tarder à réveiller ton petit « sex devil », comme tu te plairais à te justifier quelques semaines plus tard. Ta chambre d’étudiante modèle ouverte, nous nous sommes délectés de nos bouches. La tienne avait le ...
    ... goût de la mûre fraîche. Mes mains explorèrent consciencieusement tes fesses rondes et fermes puis le creux de tes reins. Ton chemisier vola au sol alors que je m’attachais à susciter de délicieux frissons en effleurant tes seins de nourrice florentine, toi, la fille du Nord. Tu voulais tout précipiter en me disant des « Viens, viens en moi » qui ne me laissaient pas de marbre, quoique ma queue en ait presque la consistance. Moi, un rien cocardier, je voulais te montrer tout le savoir-faire du French Lover. J’œuvrai au rapprochement de nos deux pays avec plus d’ardeur et de volonté qu’aucun membre (si j’ose dire) de la Commission Européenne. Détachant ton soutien-gorge, je sentis tes appétissantes rondeurs me lester les mains. Du plat de la paume j’effleurai tes pointes durcies. D’un doigt, je survolai le pli délicieux, d’une extrême sensibilité, sous tes seins à peine fléchis. Tu ronronnais de plaisir, m’invitant à accentuer mes caresses, ce qui n’avait d’autre effet que de les rendre encore plus imperceptibles, plus douces. En faisant courir ma langue sous tes seins, tes soupirs et le délicieux parfum de stupre qui montait de ton entrecuisse m’indiquaient que tu ne tiendrais pas plus de temps. En te basculant sur le lit, j’ai escamoté ta culotte humide qui couvrait encore ton volumineux postérieur et cette fente liquoreuse. M’agrippant avec une force insoupçonnée, tu me plaquas sur ton ventre, frôlant presque cette pénétration que tu appelais de tous tes vœux. Au contraire, ...
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