1. Une adorable blondinette


    Datte: 28/06/2018, Catégories: fh, fête, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, init, tutu,

    ... je voulais te montrer que ma langue pouvait explorer d’autres contrées que ta bouche et tes seins. Caressant tes pieds, je remontai vers tes fesses, faisant courir ma langue sur l’arrière de ton genou, là où la peau est si fine qu’elle en est transparente. Tu gémissais de bonheur alors que je progressais vers tes cuisses blanches et pleines. Sur leur face intérieure d’une grande douceur, j’explorai chaque parcelle de ta peau, sentant la cyprine couler de ta fente, si abondante que je devais me faire violence pour ne pas te boire de suite. En remontant vers la fourche de tes jambes, tu compris mon objectif, en essayant de repousser ma langue, toi si peu familière de cette caresse que j’adore pourtant. Etait-ce ta mouille, dont les larmes roulaient dans ton entre-fesses jusqu’à faire sur le drap une petite flaque qui te faisait honte ? La surprise de me voir si intéressé par ce sexe offert, si peu considéré par tes compatriotes ? En sentant mon souffle sur ta fente t’électriser, je savais que la partie était gagnée. Ton goût de fraise était exquis, je me gargarisai de ton geyser en explorant méthodiquement tes petites lèvres, ta chatte et le pourtour de ton bouton dardé. Cela dura tant que tu jouis par surprise en enserrant ma tête dans tes cuisses avant de trembler de tout ton corps. Je me glissai à tes côtés, en t’embrassant à pleine bouche pour que tu goûtes ton parfum intime (tu m’avoueras plus tard que c’était la première fois). Ma main sur ta croupe généreuse ne tarda ...
    ... pas à réveiller chez toi l’envie de faire l’amour. Tu me dis de façon crue ton envie de sentir ma queue en toi, ton désir d’être pleine d’elle. Décidé à te surprendre encore, je me glissai à nouveau entre tes cuisses, et tu crias grâce pour ton sexe si sensible, que j’acceptai d’épargner, pour mieux glisser un doigt entre ces belles fesses pleines et rondes. Ton cul était irrésistible : d’une blancheur d’endive, sans un seul bouton, on aurait dit deux demi-sphères se mouvant dans un bain d’huile. D’ailleurs, l’image était oh combien ! justifiée, en sentant l’humidité qui poissait la fente de ton derrière et maculait le lit. La caresse sur ta rondelle semblait délicieuse et me donna immédiatement à penser que tu étais déjà familière de Sodome. Je regrettai un instant les rebuffades que les petites cathos qui étaient mon ordinaire auraient manifestées à l’idée de cette caresse interdite. Mais je découvris que tu n’en avais cure, pour mon plus grand bonheur. Ma langue reprit possession de ta fente et un doigt se fit le grand inquisiteur de ta chatte. L’anatomie féminine connaissant moins de nuances que les tabous religieux, je te fis gémir en pressant cette zone si sensible, juste à l’entrée de ta fente qui ruisselait de plus belle. Tu étais décidément une très grande mouilleuse ! Mes caresses entre tes fesses se firent plus présentes, alors que ma bouche aspirait ton bouton, je passai une phalange dans ce trou du cul souple à souhait. Tu me parlais en Suédois, je ne comprenais ...