Une généreuse maman (9)
Datte: 23/07/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
J’ai eu mon bac du premier coup – avec mention assez bien -, ce qui prouve que le chantage affectif fonctionne, surtout quand le maitre chanteur paye de sa personne en nature. Mon père s’étant absenté pour des raisons professionnelles, nous étions seuls à la maison ; avec maman, nous en avons profité pour passer du bon temps… Le jour des résultats, ma mère a insisté pour m’accompagner au lycée. Elle m’a sauté au cou en découvrant mon nom sur le tableau d’affichage. Son enthousiasme était communicatif, et comme les autres élèves nous souriaient avec une indulgence de circonstance, je l’ai enlacée à mon tour. Nous avons entamé un petit pas de deux, soudés l’un à l’autre, mais elle s’est tout de suite écartée quand elle a senti que je bandais. Elle a froncé les sourcils, m’a regardé en face, des reproches plein les yeux, et elle m’a murmuré à l’oreille, en faisant attention à ce que personne n’entende : — Bon-sang, Victor, mais qu’est-ce qui te prend ? Tu es vraiment obsédé mon garçon ! Arrête de te frotter, lâche-moi… Je n’ai pas supporté qu’elle me rabroue comme si j’étais un enfant mal élevé, alors que nous venions d’entamer l’équivalent d’une parade amoureuse qu’elle avait elle-même initiée. Elle retombait sur ses pieds, retrouvait ses reflexes conditionnés chaque fois qu’elle se sentait en danger. J’en avais assez qu’elle se comporte comme une vraie maman à la demande, selon les circonstances, alors que je la baisais le reste du temps. Elle a dû réaliser que son attitude ...
... m’avait contrarié, alors elle n’a pas insisté et nous sommes rentrés dans la foulée. Plus tard, elle m’a prévenu qu’elle sortait faire quelques courses ; je ne devais surtout pas m’absenter pour la soirée. Elle serait de retour à l’heure de l’apéro, et j’avais tout intérêt à l’attendre ; elle me réservait une surprise. Quand elle est revenue, avec tout un tas de paquets dans les bras, elle m’a fait pensé à Julia Roberts dans « Pretty Woman » après sa séance de shopping ; il ne lui manquait que le chapeau et les gants pour que l’illusion soit parfaite. Elle est montée prendre une douche et je suis resté sur la terrasse à cogiter. Longtemps après, le soleil commençait à décliner quand je l’ai entendue qui m’appelait ; je suis entré la rejoindre. Elle était assise en équilibre sur la table du salon, perchée sur une fesse, avec sa jambe qui battait la mesure dans le vide. — Coucou mon chéri ! Je suis désolée pour tout à l’heure, tu m’as fait un peu peur… mais je suis si fière de toi que je tenais à me rattraper, à te récompenser pour ta brillante réussite… Je suis resté figé sur place, pétrifié quand je l’ai vue. — Ta maman te plait dans cette tenue ? Est-ce que tu me trouves à ton gout ? C’est moi ton cadeau ! Je devais ressembler à un de ces personnages de dessins animés, ceux qui ont la mâchoire qui se décroche et la langue qui colle au plancher. Elle était éclairée par les derniers rayons de soleil qui inondaient la pièce de lueurs fauves. Elle avait tout d’une apparition sous ...