Une généreuse maman (9)
Datte: 23/07/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... cette douce lumière dorée. Au delà de la stupéfaction de la découvrir ainsi (dés)habillée – telle une créature de défilé sur papier glacé -, c’est ce qu’elle avait fait à son visage qui me fascinait tout particulièrement. Maman n’était pas de nature une femme sophistiquée. Elle était belle naturellement, mais elle savait aussi se mettre encore plus en valeur en usant de tous les artifices qui transforment une beauté naturelle en fantasme vivant. J’étais ébloui par sa transformation. Elle avait coiffé ses cheveux en arrière, rassemblés dans un chignon compact ; son visage, entièrement dégagé, offrait ainsi un aspect d’une perfection presque impudique. Elle avait maquillé ses yeux, enduit sa grande bouche d’un rouge à lèvres carmin, aux reflets brillants, qui accentuait le relief de ses lèvres ourlées. Vulgairement, on dit du résultat qu’il offre à l’intéressée une bouche à pipe particulièrement suggestive. La lingerie fine dont elle s’était parée – c’était donc ça que contenait les paquets ! – épousait le volume de ses formes, les accentuait. Elle est venue vers moi en se trémoussant, juchée sur des talons aiguilles démesurés qui la faisaient paraître immense, alors qu’elle est déjà grande à l’origine. Elle se déplaçait en ondulant, singeant les mannequins qui se trémoussent sur les podiums. Elle avançait, reculait, se retournait pour me montrer son cul que j’adorais ; ses courbes affolantes, le spectacle de son corps était une invitation au sexe dans ce qu’il a de plus ...
... primitivement animal et sauvage, alors qu’elle avait paradoxalement revêtu les attributs de la séduction. C’était émouvant, bouleversant même de voir une femme de presque quarante ans se comporter comme une jeune femme sans paraître ridicule, et tout ça pour moi. Son corps de femme mature la rendait au contraire encore plus désirable à mes yeux, plus femelle que jamais. Elle a fait mine d’enlever sa culotte - ultime rempart d’avant, bouquet final de son exhibition - mais je l’ai suppliée d’arrêter. Vu la situation, il m’incombait de la lui ôter, puisqu’il était évident qu’elle avait décidé de m’en offrir le contenu. Je me suis précipité, me suis agenouillé à ses pieds, et j’ai rabattu sa culotte sur ses cuisses d’un geste vif. A genoux, les yeux à hauteur du sexe de ma mère, j’ai découvert, avec stupéfaction, qu’elle s’était rasée la chatte. Intégralement. Elle n’avait plus aucun poils ; toute sa géographie, distincte, m’apparaissait dans sa plus élémentaire crudité de femme qui s’offre. C’était donc ça son fameux cadeau ? J’étais bouleversé. Je n’avais jamais soupçonné qu’elle soit capable de sacrifier sa pilosité pour moi. Ça voulait dire qu’elle m’aimait elle aussi, et pas seulement comme une mère dépassée par les évènements, mais comme une femme qui en redemande. Nous n’étions pas un couple adultère comme les autres, mais nous étions un couple quelque part ! Je ne savais plus quoi penser, ni par où commencer, j’étais dépassé. Elle est venue à mon secours, a pris ma main, m’a ...