1. "Il venait d'avoir Dix-huit ans..." (2)


    Datte: 29/06/2018, Catégories: Erotique,

    ... coup d’œil dans la glace... Elle y voyait une belle femme de 40 ans, assez grande et élancée, avec un beau petit cul. Ses yeux étaient noisette, ses cheveux, coupés niveau nuque avec une frange sur le devant et une longue mèche, étaient blonds. Son visage assez volontaire avec des pommettes saillantes. Le regard que la glace lui rendit l’étonna... l’intensité lubrique qu’elle y découvrit l’étonna. La mère de famille et bonne épouse, pilier avec son mari de la communauté protestante s’était transformée en salope : « Tant pis se dit-elle, si mon mari n’avait pas été si con, je n’aurais jamais accepté ce défi... et s’il me baisait plus souvent je ne prendrais pas autant de plaisir à ce que je vais faire ! » Elle rejoignit le bar où elle demanda un nouveau whisky qu’elle vida cul sec sous l’œil étonné de Paul qui servait... Puis escaladant une chaise, monta sur la table... sous le regard étonné des hommes. Fabrice la regardait, elle lui adressa un coup d’œil complice et lubrique et lui demanda de s’installer sur une chaise juste sous elle, bien en face. Elle avait décidé que lui devait avoir la meilleure place. Si elle devait s’offrir à ces jeunes, elle voulait que son petit protégé qui avait bien souffert de la vie soit aux premières loges pour l’admirer, elle. Elle demanda également un peu de musique et c’est sous les accords chaloupés de Police « The bed’s too big without you », et la voix éraillée de Sting, qu’elle commença à se déhancher langoureusement... “Bed’s toot big ...
    ... without you, Cold wind blows right through that open door...” Le whiskey, la musique rythmée de Police, dont elle savait que Fabrice et ses fils étaient fans, le regard vicieux des hommes fixés sur elle, le regard plein d’admiration, de vénération même de son jeune élève fixé sur son corps, faisaient qu’elle sentit une chaleur torride envahir tout son être. Elle tournait sur elle-même, se caressait langoureusement les seins à travers l’étoffe de sa robe, plaquait ses deux mains sur son sexe, froissait sa robe entre ses jambes, reculait sa croupe à la « Marilyn Monroe ». La musique continuait : “Since that day when you’d gone, Just had to carry on... “ Elle avait abaissé l’épaule de sa robe sur son bras, puis la seconde, laissant apparaitre le haut d’un bustier noir en dentelle, et elle retenait la robe avec ses mains. Tournoyant sur elle-même, elle s’aperçut que la musique changea, les premiers accords à la guitare basse de sa chanson préférée de Police, « Bring on the night » uhurrga L’excitation était à son comble, elle était au bord de l’orgasme, elle se mordit la lèvre inférieure pour retenir un gémissement de plaisir. Ne lâchant toujours pas sa robe elle se déhancha au rythme des coups de batterie au début de la chanson. “The afternoon has gently passed me by, The evening spread its sail against the sky...” La voix déchirante de Sting la mettait en transe; quand eut lieu le refrain : “Bring on the night, I couldn’t stand another hour of daylight...” Elle laissa tomber sa ...