1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°818)


    Datte: 30/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Le Marquis d’Evans dominant l’O – Episode N°1 – (1/2) La fête donnée pour le départ du Marquis d’Evans - C’était donc décidé, Monsieur le Marquis d’Evans allait quitter la Noble résidence de Ses ancêtres pour une durée indéterminée et c’est pour cela qu’il avait eu envie de donner avant Son départ une fête en Son Château, en réunissant l’ensemble de Sa maisonnée, tous les serviteurs salariés et également tous Ses esclaves, en particulier ceux qui resteraient à demeure après son départ et ne pourraient plus avant longtemps se réjouir de la présence du Patron pour les premiers et Maître Vénéré pour les autres, mais qui seraient heureux de le savoir parti pour des vacances salvatrices qui lui permettrait de revenir plus reposé et encore plus Dominant que jamais. Tous les esclaves du Château avaient été réunis dans la Grande Salle de réception. Seuls les soumis et soumises punis au cours des dernières 24 heures ne seraient pas des réjouissances et ils seraient affectés aux tâches matérielles pour l’organisation de la fête, que ce soient le service, la cuisine, le rangement, le ménage, ou toutes autres obligations incontournables. Les esclaves punis portaient tous une chaine avec des pinces aux seins et une ceinture de chasteté munie d’un plug anal, les mâles étant de surcroit encagés tandis que les femelles avaient la chatte munie d’un envahissant et large gode. Pour encore plus marquer dans leur esprit le courroux du Châtelain, déçu à la veille de son départ par tous ceux et ...
    ... celles qui avaient fauté avant cette soirée, qui auraient dû être un divertissement pour tous, les esclaves fort blâmables et contrits avaient été installés en deux rangées devant la porte de la salle à manger, positionnés à genoux et de dos, le front posé contre le sol. Ils n’auraient même pas l’opportunité et la chance de pouvoir apercevoir les pieds du Maître Vénéré qui, volontairement de surcroît, ne daignerait même pas venir fesser leurs croupes exposées ou marquer du moindre signe un quelconque intérêt pour ceux qui n’avaient pas su faire honneur à Son éducation. A l’inverse, tous les autres esclaves du Cheptel qui allaient participer à cette soirée festive avaient eu le bonheur de voir tous leurs orifices dégagés de toutes contraintes. Les mâles, dont Walter, le Majordome du Château, avait ôté les cages, bandaient déjà outrageusement pour la plupart d’un désir sexuel qu’ils ne pouvaient contenir après pour certains de longues périodes d’abstinences. Et quant aux femelles, leurs bas-ventres luisaient d’une humidité réelle car elles étaient toutes de vraies chiennes en chaleur, avides de plaisirs sensuels et sexuels. Certains étaient totalement nus, tandis que d’autres portaient des tenues sexy ou fétichistes, allant des bas avec porte-jarretelles ou guêpières pour les femelles aux bottes ou leggings de cuir moulants et ouverts à l’entrejambe pour les mâles. Les soumis et soumises étaient peu habitués à ce genre de soirée sans le moindre Invité extérieur, mais tous et ...
«1234...»