1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°818)


    Datte: 30/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... en tête, il s’approcha de Son esclave Phryné MDE, qu’IL avait décidé d’emmener avec lui pendant tout le temps que durerait sa croisière sur L’Odyssée. Mais il voulait qu’elle n’en sache rien avant de se retrouver à bord. Le Dominant avait même décidé de tester, non pas sa résistance physique à pouvoir endurer coups et douleur, mais bien plus la force morale de sa Dévotion pour savoir jusqu’à quel point, elle serait prête à lui obéir dans une totale abnégation qu’il savourait tant comme Dominant et Maître Absolu de celle qui s’était offerte à Lui. - « Phryné ... » ……….. - laissant un long espace vide et muet avant de reprendre d’un ton lourd - ……….., il me faut maintenant te prévenir que ceci est ta dernière soirée au sein de ce Château, qui a vu défiler de multiples générations de Marquis d’Evans en près de 4 siècles. L’esclave Phryné MDE commença à se crisper, se demandant avec effroi ce que Le Maître Vénéré avait bien voulu dire. Son cœur s’était déjà serré lorsqu’elle avait entendu que le Noble l’avait appelé tout simplement « Phryné … ». Comment cela se pouvait-il ? Le Maître avait l’habitude de la nommer toujours de son pseudo complet comprenant les Nobles Initiales MDE qu’IL l’avait autorisé à porter depuis trois ans. De plus très souvent, il préférait l’appeler « Ma chienne » quand il s’adressait à Son esclave-femelle, allant même parfois jusqu’à des termes tels que « Ma belle chienne », voire « Ma chienne adorable » lorsqu’IL se voulait plus affectueux et prêt à la ...
    ... récompenser de sa soumission exemplaire. Et là, à l’instant, rien de cela ! Plus rien qui marquait son appartenance au Cheptel MDE et sa soumission servile au Maître Vénéré, un simple prénom qui sonnait vide et creux et qui résonnait encore au tréfonds de son âme terriblement inquiète par cette interpellation des plus surprenantes. La fidèle chienne ne tarda pas à culpabiliser en se demandant ce qu’elle avait bien pu commettre comme grave faute qui pourrait justifier un tel bannissement, qui ne lui était même pas expliqué comme si cela devait couler de source. D’autant plus qu’elle commençait à réfléchir sur la portée des mots qui avaient suivi ce nom volontairement écourté. Non, elle n’avait pas rêvé, pas simplement pu imaginer qu’au milieu des chuchotements le « MDE » avait peut-être été prononcé trop bas à son oreille pour qu’elle ait pu l’entendre. Monsieur le Marquis d’Evans venait bien de lui dire que ce serait sa dernière soirée au Château. Son cœur battait de plus en plus fort, sa respiration devait profonde et lourde. Qu’avait-elle donc pu faire pour qu’il en soit ainsi ? Cela voulait-il dire qu’elle serait renvoyée dès la fin de la soirée, sans plus d’explications. Elle ne put s’empêcher de laisser une première larme couler de ses yeux qu’elle tenta de masquer en courbant encore plus la tête. Elle savait qu’elle avait expressément renoncé à toute liberté et que les exigences du Maître Vénéré n’étaient pas négociables. Elle n’aurait donc pas l’affront d’oser ouvrir la ...
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