1. La Porte de Champerret


    Datte: 23/07/2017, Catégories: hbi, hsoumis, Transexuels intermast, Oral hdanus, hsodo, init, inithh,

    ... surpris, mais rien ! Elle s’est arrêtée au bord, je la sens là, le gland positionné comme il faut, juste une toute petite pression, suffisante pour que je la sente mais insuffisante pour qu’elle la rentre. « Ohhhhhhhh ! ». Je relève la tête, je respire plus fort encore, je la sens là, prête à partir, mais rien ne se passe. Juste cette petite pression constante. Comme je respire fort mon cul fait d’infimes mouvements. Cela a pour effet de faire varier la pression de son gland sur mon anus, me faire respirer plus fort encore, me faire bouger plus fort encore. Sans que je m’en rende compte, je suis en train de m’ouvrir moi-même sur son gland, apeuré, attendant avec inquiétude le moment fatidique. Elle a une technique absolument incroyable, une petite pression…"Ohhhhhhhh !". Elle se recule d’un centimètre, une seconde pression…"Ohhhhhhhh !". Elle se recule à nouveau, une troisème pression…"Ohhhhhhhh !" Je n’en peux plus. Chaque pression me fait m’écarter un peu plus, chaque pression me détend un peu plus l’anus, à chaque fois, j’ai peur qu’il ne rentre et je me contracte un peu… Mais non, il ne rentre pas… Je commence à me détendre…"Ohhhhhhhh !" Sixième pression"Ohhhhhhhh !". Je suis de plus en plus souple, de plus en plus détendu. Je commence à ne plus penser à la pénétration, juste le plaisir de ce bélier, qui fait mine de vouloir rentrer mais qui se retire dès qu’il commence à m’écarter. Mon anus n’a pas le temps de se resserrer que la pression suivante arrive, jusqu’au moment ...
    ... où, par surprise, sans m’y attendre, elle poursuit la pression jusqu’à ce que mon anus à moitié ramolli ne s’écarte en épousant la forme de son gland. "Oooooooohhhhhhhhhh !" Sa bite est rentrée toute seule, sans douleur, sans déchirement, elle avance doucement, dans un mouvement continu, sans s’arrêter. Je sens chaque centimètre de sa queue me parcourir, je sens mon ventre se remplir, je me cramponne à ses hanches, je laisse partir mon cul en arrière, jusqu’au moment de la douleur :« Rhaaaaaaaaaaa ! ». Je l’ai senti buter, freiner, je me retrouve entièrement comblé, rempli, écarté. Elle recommence son va-et-vient. Je sens monter une vague de plaisir et mes fesses s’ouvrent complètement. Elle me prend doucement, inexorablement. Je sens mon cul s’ouvrir, la douleur est forte et douce. Enfin elle est entièrement en moi, elle s’appuie de tout son poids sur moi et je sens son ventre sur mes fesses, ses seins me caressent le dos. Je gémis, j’halète, je n’en peux plus. Cela m’irradie, laissant toute pudeur, j’ouvre mes jambes et me cambre au maximum, des mots m’échappent"c’est bon", " j’aime", " encore", alors elle se déchaîne, et commence à me pilonner de plus en plus vite — Tu aimes ma bite ?— Oui, j’adore ! Prends-moi le cul ! J’entends le claquement de ses cuisses contre mon cul tendu, je suis une chienne en chaleur, Je veux prendre le rôle de celui qui se fait baiser, qui se fait prendre, qui provoque, qui excite… je suis elle, ma douce, mon attente, mon désir… Je suis Estelle ...