1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°726)


    Datte: 30/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dit qu’elles ne doivent pas encore être couchées alors il décide de faire demi-tour afin de récupérer son bel objet en or resté sur la table de salon… Une énorme surprise attend Monsieur le Marquis car une fois revenu devant la grille du petit Manoir du Dranier, celle-ci lui apparait cadenassée, rouillée et emplie de ronces et de végétation grimpante démontrant à l’évidence que les lieux sont abandonnés depuis bien longtemps. Il ne comprend pas ce qui lui arrive. Il était là, au même endroit, il n’y a pas 5 minutes et tout a changé d’aspect ! Opiniâtre et surtout très intrigué, il veut en savoir plus, alors il pousse le portail rouillé mais celui-ci résiste grâce à la vieille chaîne au cadenas rouillé. Dans sa poussée, il s’aperçoit que les gonds du portail étant dévorés par la rouille bougent dangereusement, alors le Châtelain n’hésite pas les pousser encore plus fort d’un bon coup d’épaules, ce qui a pour conséquence de les faire céder et c’est un panneau entier du portail qui tombe devant lui … La vue qui s’offre alors à lui n’est que végétations abondantes et désordonnées dans le petit parc en friche sauvage mais aussi entre les pierres des escaliers menant à la porte d’entrée. Rien à voir avec le même lieu parfaitement entretenu, d’il y a peu, avant de quitter les deux femmes … Le Noble arrive à se frayer un passage entre les ronces et il n’a aucune peine à forcer la porte d’entrée à la fermeture pourrie par le temps. Une fois la porte ouverte, il trouve la même ...
    ... pièce face à lui mais complètement envahie par les toiles d’araignées. Tous les meubles sont à la même place mais sous une épaisse couche de poussière. Visiblement personne n’est entré ici depuis de très longues années… Ce qui le surprend encore plus, ce sont les traces de pas au sol, bien marquées dans la poussière environnante. Ces traces bien significatives ressemblent à ses propres semelles, il comprend alors que ce sont ses pas à lui, les traces de ses chaussures ! Celles-ci partent exactement de là où il se trouve devant l’entrée et mènent tout droit à la petite table de salon sur laquelle il aperçoit dessus, son briquet brillant dans la poussière… Encore plus étrange, en récupérant son objet en or, il aperçoit un vieux journal jauni par le temps, plié et tout poussiéreux à côté sur la même petite table. C’est avec stupeur que son regard se fige à la lecture du gros titre de la première page : ‘’La Comtesse du Manoir du Dranier et sa fille muette Clara étranglées par le mari et puritain Comte pour avoir participé toutes les deux à une orgie sexuelle…’’ Et en photo sous ce gros titre, Monsieur le Marquis reconnait les deux victimes, ce sont les deux femmes qu’il a secouru tantôt au bord de la route, trait pour trait. C’est une véritable stupeur qui saisit le Noble. Il remarque aussi la date du journal, celui-ci est daté du ‘’22 mars 1916’’… Il comprend maintenant pourquoi les deux femmes avaient un épais foulard blanc cachant leur cou, afin de cacher les traces de la ...