1. La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°726)


    Datte: 30/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... caresses, le Noble les ressent, même s’il ne peut bouger. Elles sont d’une incroyable douceur, si douces que malgré le contexte, ces suaves caresses l’endorment tout doucement, très doucement … dans les bras de Morphée … La lumière du jour passe à travers les hautes fenêtres de la chambre, il est 9h du matin quand Monsieur le Marquis rouvre les yeux de son réveil provoqué par la clarté du soleil. Quelques secondes suffisent pour que tout lui repasse en tête ... Alors, il regarde autour de lui… personne ! Rien d’anormal ! A-t-il rêvé ou pas ? il se pose la question car tout semblait si réel, si vrai … Il se lève, se persuadant qu’il a bien rêvé car tout cela est impossible, il n’est pas du genre à croire aux fantômes…. Un instant plus tard, on frappe à la porte, après le ‘’Entrez’’ d’usage, Walter son fidèle Majordome pénètre dans la chambre comme chaque matin avec une esclave MDE apportant un large plateau copieusement garni en guise de petit déjeuner. Monsieur le Marquis est encore soucieux et perplexe, ce qui n’échappe pas à Walter - Bonjour Monsieur le Marquis, voici le petit déjeuner et le courrier du jour… Mais ? Vous me paraissez bien soucieux, allez-vous bien ? s’inquiète le Majordome - Bonjour Walter … Hein ? … Heu … Oui, ...
    ... oui … ca va ! … Je veux simplement qu’on me laisse seul … -- Bien, Monsieur le Marquis, ce sera comme vous voulez, répond Walter en donnant une frappe sur le cul de l’esclave afin de quitter prestement la chambre une fois que la femelle ait posé le plateau sur la petite table Louis XV… Le Noble retourne dans tous les sens toutes ses interrogations, concluant au final que tout était, en fin de compte, qu’un stupide rêve, il en est désormais persuadé, ça ne peut être que ça ... Alors, pour oublier cet étrange rêve, il décide de se servir une grande tasse de café noir en déversant la grosse cafetière fumante… Puis, il épluche tranquillement son volumineux courrier composé d’une bonne quinzaine de lettres et des cinq ou six journaux quotidiens auxquels il est abonné. Quand soudain, il est de nouveau pétri de stupeur qui le fige, car en effet, parmi les journaux du courrier, il découvre un vieux journal jauni et sans emballage, ce journal est daté du … ‘’22 mars 1916’’… Il reste un long moment stupéfait et ne peut s’empêcher de regarder la photo des deux femmes et de relire attentivement le gros titre pour s’apercevoir, cette fois, avec stupeur que les lettres du Manoir ‘’Dranier’’ sont celles inversées de Madame ‘’Reinard’’ … (A suivre …) 
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