1. Soa


    Datte: 01/07/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, bain, voyage, odeurs, Masturbation intermast, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, occasion,

    Résumé de l’épisode précédent : «Anne-Marie et le vazaha »Cette histoire se déroule au milieu des années soixante, alors que je fus convoqué pour mon service national et affecté dans la coopération à Madagascar, dans une petite ville de la côte nord-est. Au réveillon du Nouvel-An au cercle franco-malgache, je fis la connaissance d’une jeune fille de la ville, prénommé Anne-Marie, qui lors d’une journée torride se vengea d’un fiancé indélicat en me faisant perdre mon pucelage. ___________________________________________ Après avoir perdu mon pucelage un soir de réveillon, et m’être retrouvé seul, je ressentis rapidement le manque de satisfactions sexuelles avec une femme ou à tout le moins le corps d’une femme. J’en étais à un point où j’en rêvais d’un corps féminin. À la veille d’un long week-end, je décidai de partir en brousse, dans un village situé à une vingtaine de kilomètres au sud de la ville. Je pris un taxi-brousse qui me conduisit vers le lieu de mon week-end. Le taxi – une R4 – transportait quatre personnes à l’arrière. J’avais une place d’honneur à l’avant avec le chauffeur. Bien sûr, la galerie du taxi était chargée de tous les bagages… À environ cinq kilomètres de notre point de départ, le chauffeur arrêta la voiture pour prendre en charge une belle et grande jeune fille qui lui faisait signe de s’arrêter. Un palabre s’engagea pour savoir si oui ou non, il pouvait encore la faire monter. Pour autant que j’aie compris la discussion, il prétextait ma présence pour ...
    ... dire que la place manquait à l’avant. Elle, pour sa part, soutenait qu’il y a avait encore une place pour elle à l’avant. Elle ajouta qu’à son avis je serais heureux de l’avoir sur mes genoux, ce qui provoqua l’hilarité des passagers. Quand le chauffeur me posa la question, je haussais les épaules en demandant si elle allait loin. Il m’assura qu’elle allait au prochain village. Le taxi reprit sa route. Il faisait chaud, très chaud. Malgré les vitres ouvertes et le courant d’air dû à la vitesse (environ 10 km/h dans les passages les plus rapides) l’odeur des transpirations des passagers devenait de plus en plus forte. La dernière arrivée, qui semblait contente de sa position assise sur mes genoux, dégageait une odeur agréable. Je pensais qu’elle avait dû mettre de l’eau de toilette avant de prendre le taxi. Comme le taxi abordait une partie de piste particulièrement défoncée, je mis mes mains en avant pour me caler sur le rebord du tableau de bord. J’avais donc mes bras autour de son torse. Les cahots de la voiture nous ballottaient de gauche et de droite, d’avant en arrière. Je resserrai mes bras pour maintenir la passagère et l’empêcher de me faire mal par des mouvements de trop grande amplitude. Les passagers de l’arrière gloussèrent et firent des commentaires que je ne compris pas, mais qui provoquèrent chez la passagère un coup d’œil assassin à leur encontre. À chaque cahot, je sentais ses seins caresser mes avant-bras. Pas désagréable du tout comme contact… Je commençai ...
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