Soa
Datte: 01/07/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
couleurs,
bain,
voyage,
odeurs,
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
... Elle m’expliqua qu’elle devait acheter diverses choses à la boutique et qu’elle n’en aurait pas pour très longtemps. Elle me proposa de l’attendre. Un petit quart d’heure plus tard elle était de retour avec quelques provisions dans sa soubique. (La soubique est un panier en jonc tressé. Très souple et résistante, la soubique est d’un usage très pratique et sert à tout transporter à Madagascar.) Elle me précéda pour gravir le sentier escarpé qui menait à ses maisons. Je notais qu’elle avait changé ses vêtements. Elle portait maintenant un corsage en tissu blanc et une jupette ample s’arrêtant à mi-cuisse. J’étais décidément abonné à la voir par derrière, mais cette fois le spectacle était plus distrayant encore. À chacun de ses pas, je voyais des jambes sculpturales. Elles étaient très musclées, mais pas déformée. Au milieu de la côte elle s’arrêta, et se retournant vers moi me dit : — C’est beau non ?— Oui, vous avez des jambes magnifiques…— Ce n’est pas de ça que je parlais. Et elle reprit sa marche. Enfin nous étions à l’emplacement de son « hôtel ». Sur un vaste pan de terrain presque horizontal, il y avait deux maisons assez importantes distantes d’environ cinquante mètres. Accolée à chaque maison, une plus petite construction devait abriter la cuisine ou la salle d’eau. Ces bâtisses étaient construites en matériaux locaux, murs en bambou tressé et toits en feuille de bananier. Chaque maison était entourée d’une véranda assez large pour s’y allonger à l’ombre de ...
... l’avancée du toit. Un peu plus loin, à l’orée du bois qui continuait vers le sommet de la colline, une autre construction nettement plus modeste devait abriter le trou faisant office de WC. À vue de nez, il y avait largement la place de construire cinq à six autres maisons. L’emplacement était bien situé, bien que d’un accès assez malaisé. Aux fleurs entourant une des deux maisons, j’identifiai la sienne. Elle confirma ma déduction en souriant. Elle m’ouvrit ce qui allait être mon logement pour les deux nuits à venir, et me demanda si le repas traditionnel me convenait. — Bien sûr, j’aime beaucoup. Ayant déposé mes affaires, je décidai de me promener un peu aux alentours. C’est alors que je réalisai que je n’avais vu aucun employé. Habituellement dès qu’il y a une maison, il y a plusieurs personnes qui y vivent et souvent une ribambelle de gosses. J’allai en reconnaissance vers les commodités. Effectivement, elle avait dit vrai, un simple trou dans la terre, et deux branches pour poser les pieds, rien pour s’accrocher et garder son équilibre… Je partis ensuite vers les profondeurs du petit bois. La végétation était dense, la fraîcheur du sous-bois était agréable et me reposait du voyage. Je m’assis sur le tronc d’un arbre mort après m’être assuré que ce n’était pas une autoroute à fourmis. Je restai un long moment à rêvasser quand je l’entendis m’appeler. Un coup d’œil à ma montre me fit penser que c’était pour le repas. Les repas sont pris assez tôt, vers 18 heures, afin de profiter ...