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Soa
Datte: 01/07/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, bain, voyage, odeurs, Masturbation intermast, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, occasion,
... sont méchants ?— Mais non, ce n’est pas ce que je voulais dire. À ce moment, je trébuchai sur une souche que je n’avais pas vue. Je m’étalais de tout mon long, en plein dans une petite flaque d’eau boueuse. — Vous êtes-vous fait mal ?— Non, mais il va falloir que je me change… Elle m’aida à me relever et perdit à son tour l’équilibre. Je la retins de mon mieux et elle se retrouva dans mes bras. Sa bouche était à quelques centimètres de la mienne. Je ne pus résister et posai mes lèvres sur les siennes. Elle me rendit mon baiser en mettant ses bras autour de mon cou. Je sentais sa poitrine effleurer la mienne. Ses seins étaient aussi fermes qu’ils le semblaient. Je mis mes mains sur ses hanches et l’attirai contre moi. Nos bassins se heurtèrent presque. Je caressai un instant ses fesses et m’enhardis à caresser un sein. Elle ne se défendit pas. Elle appréciait autant que moi. En se dégageant un peu elle dit : — Il faudrait rentrer pour laver nos vêtements et il commence à y avoir des moustiques. C’est main dans la main que nous rejoignîmes la maison, la sienne. Elle chercha une cuvette, y mit de l’eau d’un seau qui était dans un coin de la pièce et m’enjoignit de me déshabiller. Je retirai ma chemise, mon pantalon et me retrouvai l’air un peu bête en slip devant elle. Puis elle enleva son chemisier et sa jupe pour tout faire tremper. Elle ne semblait pas gênée d’être devant moi en petite culotte et soutien-gorge. — Bon, vous pouvez aller vous coucher, je ferai la lessive une ...
... fois qu’elle aura trempée. Elle sembla chercher quelque chose et dit : — Oh ! Il n’y a pas de lampe pour vous, et je n’ai plus de bougie.— Alors il faut que je dorme ici, dis-je en montrant le lit dans la pièce voisine.— Mais il n’y a qu’un lit…— Et alors, il est assez grand pour deux ! J’eus l’impression qu’elle ne trouvait pas l’idée très bonne… Elle finit par accepter, presque à contrecœur. Après avoir déployé la moustiquaire elle s’allongea et j’en fis autant. Elle me tournait le dos, prudente. Elle avait laissé la lampe allumée. Cela se fait souvent là-bas, c’est difficile d’avoir à se lever en pleine nuit et de chercher dans l’obscurité de quoi éclairer la pièce à dormir… Les cloisons en bambou tressé laissaient passer la légère brise de la nuit. La lumière vacillante projetait nos ombres mouvantes sur le mur. Je n’arrivais pas à trouver le sommeil. — Vous n’arrivez pas à dormir ? Moi non plus. Elle se retourna sur le dos. Je m’accoudai pour la regarder et lui fis un petit baiser sur la bouche. Alors que je tentais de m’écarter, elle écrasa sa bouche sur la mienne. Nos langues s’entremêlèrent en un baiser fougueux. Elle devait sentir qu’elle ne me laissait pas indifférent. Je bandais comme un fou. En roulant, elle monta sur moi. Puis elle releva son buste et éclata de rire. Ma verge tendue dépassait hors de mon slip. Elle me dit de l’enlever pendant qu’elle dégrafait son soutien-gorge. Ses seins, gros et bien formés, m’apparurent dans la lueur jaunâtre de la lampe à ...