Business à Barcelone - 6/7
Datte: 01/07/2018,
Catégories:
h,
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
voyage,
toilettes,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
... Sans lâcher sa bouche, Isabelle put alors s’allonger aux côtés de sa partenaire et se coller tout contre elle, l’enlacer, parcourir librement son corps. Sa bouche était tendre, fraîche, sa langue douce tout contre la sienne, alors que son corps s’enflammait peu à peu sous les caresses. Elle s’aventura donc enfin du côté de sa poitrine, pour en parcourir les contours, les reliefs, y dessinant du bout des doigts des arabesques imprévisibles. Elle s’approchait du sommet des seins, en cercles toujours plus serrés, jusqu’à aller frôler ces tétons tendus, érigés, qui n’attendaient qu’elle. Ce contact arracha à sa protégée son premier soupir de volupté étouffé, bientôt suivi par d’autres à mesure que la torture que lui infligeait Isabelle se précisait. — Laisse-toi aller… L’initiatrice se réjouissait de la manifestation de plaisir de sa partenaire et, gourmande, se laissa glisser le long de son menton, son cou, sa poitrine. Empoignant délicatement un sein, elle en saisit le sommet entre ses lèvres et l’embrassa, le lécha, le titilla du bout de la langue. La bouche maintenant libérée de la jeune stagiaire pouvait maintenant s’exprimer à son aise et elle ne s’en priva pas, tandis qu’elle prenait sa tête entre ses mains pour en caresser les cheveux et l’encourager à poursuivre, encore, et encore, à ne surtout pas s’arrêter. Isabelle ne se fit pas prier et alterna tranquillement entre un sein et l’autre, souriante, heureuse, coquine, tandis que l’amplitude des ondulations du corps de ...
... sa partenaire s’accentuait. — Oui… Comme ça… Laisse-toi aller encore… Mais elle ne comptait pas en rester là, bien sûr. Sans lâcher les seins de la bouche, sa main partit d’abord en éclaireur pour parcourir la peau toujours aussi douce de son ventre, sa hanche, sa cuisse… Elle la descendit, avant de remonter, sur l’intérieur cette fois-ci, sentant les jambes se séparer pour lui ouvrir le passage à mesure qu’elle avançait. Arrivée au sommet de la fourche, elle évita d’abord son sexe, le contourna, pour aller d’abord caresser, masser, titiller, agacer le nombril. Isabelle s’était attendue à y trouver un piercing, mais en fait, non.Cette jeune fille ne cherchait donc à exprimer sa rébellion que vis-à-vis du monde extérieur, pensa-t-elle,mais dans l’intimité elle redevenait classique, tendre, romantique. Tu as eu de la chance de tomber sur moi, et j’ai eu la chance de tomber sur toi… Ce n’est qu’alors qu’Isabelle, après une dernière descente, s’aventura sur le pubis de la jeune fille. Sa toison en était douce, fine, claire, légère, et la jeune femme se plut à la caresser sans la brusquer, sans l’agresser. Sa partenaire s’abandonnait, lui laissait le champ entièrement libre, et ce fut sur ces nouvelles courbes, pentes, qu’elle partit s’aventurer. Elle explora un bord, puis l’autre, descendant loin entre les cuisses, jusqu’à aller frôler ses fesses, avant de remonter. Puis elle parcourut le sillon entrouvert, sans chercher à le forcer, juste pour le plaisir d’écouter les soupirs de ...