1. Les deux pestes


    Datte: 02/07/2018, Catégories: ffh, jeunes, fdomine, humilié(e), chantage, strip, Oral pénétratio, hdanus, jeu, vengeance,

    ... le côté gros thon.— Bon. Et bien je crois qu’il ne nous reste plus que la foufoune. Élodie se retourna et me regarda avec un immense sourire. — On va voir ça. Va te rincer la bouche, c’est dégoûtant ce que tu as fait. Éclats de rires des deux nénettes et nouveau défilé dans l’appartement, la queue au zénith. — Tu as vu, côté bite, c’est quand même autre chose que tout à l’heure !— Ah, ces petits jeunes, il faut tout leur faire découvrir ! Et voilà qu’Anne-Sophie se mettait à faire de l’humour, j’aurais vraiment tout vu aujourd’hui. Finalement, elle gagnait peut-être à être connue. Au retour, Élodie m’ordonna de m’allonger sur le lit. À côté de moi, Anne-Sophie, repartie dans son trip à dos de chameau, ne regardait même pas ce qui se passait. Elle est vraiment incroyable, celle-là ! Élodie vint se mettre à genoux sur moi, le pubis juste au-dessus de ma bouche. — Lèche-moi l’intérieur des cuisses.— Oui, Mademoiselle Élodie. Que du bonheur. J’étais le plus heureux des hommes. Je pris tout mon temps, dessinant avec ma langue de longues arabesques sur sa peau, alors que je sentais l’excitation monter en elle. Elle avait fermé les yeux. Ses lèvres toutes humides, gonflées de désir, avaient rougi. Je la pénétrai avec la langue et la léchai en profondeur, alors que son vagin ruisselait et que sa cyprine s’écoulait lentement dans ma gorge. Rapidement, elle ne tint plus en place et son bassin se mit à onduler au rythme de ma bouche. À chaque fois que j’effleurais son petit clitoris, ...
    ... elle sursautait, renvoyant la pointe de ma langue toujours plus loin en elle. Les rôles étaient maintenant inversés, et c’est moi qui la regardais alors qu’elle tentait en vain de se maîtriser, ne pouvant plus retenir les premiers soupirs de plaisir. Je lui massais le dos, les reins, les fesses. Elle serrait les cuisses de plus en plus fort, se penchant en avant sur moi. Lorsque mes mains atteignirent enfin ses lèvres, elle se jeta en arrière avec un gémissement avant de se reculer sur mon ventre pour venir s’empaler sur mon sexe, en dégrafant son soutien-gorge, enfin totalement nue, me dévoilant les seins que j’avais tant rêvé de voir. Il n’y avait maintenant plus de Mademoiselle Élodie qui tenait et j’entendais bien prendre ma revanche en la faisant hurler de plaisir, sans aucune retenue, devant Anne-Sophie. À chaque coup de boutoir dans son ventre, elle gémissait un peu plus fort. Je l’attirais vers moi, prenant ses seins lourds dans la bouche, léchant ses aréoles, mordillant ses tétons, caressant chaque recoin de son corps. Elle se mit à crier, me suppliant de continuer et j’accélérai le rythme, poussant de plus en plus fort dans son vagin, lui écartant les fesses avec les mains. Lorsque je forçai enfin son petit orifice pour y glisser un doigt, elle se redressa, en poussant un grand cri. — Maintenant, maintenant… oui… Encore, vas y… oui… oui… oui… Ça y est presque… encore… ça y est… Je jouis en même temps qu’elle, la faisant tressaillir de nombreuses secousses, continuant ...
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