Les deux pestes
Datte: 02/07/2018,
Catégories:
ffh,
jeunes,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
strip,
Oral
pénétratio,
hdanus,
jeu,
vengeance,
... encore longtemps à danser dans son ventre, goûtant jusqu’au bout mon bonheur, avant qu’elle ne finisse par s’effondrer sur moi. Quelques secondes passèrent et pisse-vinaigre ramena sa fraise, levant enfin le nez de son catalogue. — Dites, faudrait voir à pas dégueulasser mon couvre-lit, et toi, va te laver la bite avant d’en mettre partout, c’est dégoûtant ! Élodie rigola, moi je préférai ne rien dire. Il ne s’agissait pas de tout gâcher maintenant. Troisième aller et retour dans la salle de bains, je commençais à connaître le chemin. Ça tombait plutôt bien car j’avais une furieuse envie de vider ma vessie. Et l’autre maniaque qui croyait que j’allais m’astiquer la zigounette ! Tout bien réfléchi, j’avais passé une soirée d’enfer, même si le début avait été un peu difficile. J’avais pris un pied incroyable avec la petite Élodie et si l’autre enquiquineuse avait eu la correction d’aller voir ailleurs si on y était, ça aurait été franchement génial ! D’ailleurs, au sujet d’Élodie, j’avais bien l’intention de m’incruster un peu maintenant. Je crois que j’avais réussi à la fois à désamorcer la bombe atomique qui devait m’exploser à la figure lundi, et à me trouver une nana dont les fantasmes feraient pâlir d’envie tous mes copains. Finalement, j ‘avais très bien fait de me comporter comme ça vendredi soir. J’aurais même dû gueuler avant, ça nous aurait fait gagner du temps à tous les deux. J’étais perdu dans mes pensées, assis sur le trône, lorsque la porte s’ouvrit et ...
... Anne-Sophie me lança : — Qu’est-ce que tu fous encore, dépêche-toi un peu, on n’a pas que ça à faire. Comme d’habitude, Mademoiselle Anne-So avait parlé sans même me regarder, en me tournant le dos. Je levais les yeux et vis d’abord sa main sur la poignée, puis son bras, avant de m’apercevoir avec effarement qu’elle était… toute nue ! Je finis de pisser à toute allure et ressortis, l’air ahuri, de la salle de bains, pour découvrir une scène surréaliste : les deux nénettes étaient à poil, assises sur le lit, et avaient remis le nez dans leurs catalogues de voyage. Les bras m’en tombaient. Je croyais avoir tout vu aujourd’hui mais là, ça dépassait l’entendement. Il faut dire qu’Anne-Sophie était aussi agréable à regarder qu’elle était difficile à supporter : bronzage presque intégral, musclée, des seins plus petits mais beaucoup plus fermes que ceux d’Élodie, la fesse haute, un vrai physique de rêve. En plus des piercings aux oreilles, à la lèvre, à l’arcade sourcilière et à la langue que je connaissais déjà, elle arborait un large tatouage en forme d’arabesque en bas du dos et un bijou au nombril, au-dessus d’une petite toison pubienne impeccablement taillée en triangle. — Mets-toi à quatre pattes sur le lit.— Écoute, Anne-Sophie, là je ne me sens plus tellement en forme, tu vois. Pour sûr qu’elle pouvait voir, mais elle s’en moquait complètement. — Dépêche, je te dis. J’obéis, une fois de plus. Il y a des moments où c’est lassant. Élodie vint s’asseoir en tailleur face à moi et ...