1. Les deux pestes


    Datte: 02/07/2018, Catégories: ffh, jeunes, fdomine, humilié(e), chantage, strip, Oral pénétratio, hdanus, jeu, vengeance,

    ... contrôle, mais il n’y avait rien à faire, j’étais prisonnier de ses hanches et de ses mains qui me rappelaient que toute tentative de passage en force était impossible. Pas un cri, pas un soupir, juste sa respiration de plus en plus rapide. Cette fille est vraiment incroyable, elle fait l’amour comme d’autres s’entraînent pour un marathon. C’est moi qui maintenant gémissais de plus en plus fort, essayant en vain de maîtriser une situation qui risquait à tout moment de m’échapper définitivement. Anne-Sophie continuait de me faire rouler sur son ventre, à son rythme, sous les yeux d’Élodie qui ne ratait rien du spectacle. Lorsqu’enfin elle jugeât qu’elle avait assez joué et voulut en finir, elle lâcha mes testicules et accéléra, me plaquant sur elle en appuyant de toutes ses forces ses pieds sur mon dos. La réponse fut immédiate : je perdis tout contrôle sur moi-même et alors que son corps d’athlète se contractait, arc bouté sur ses bras rejetés en arrière, jouissant en silence, je me cambrais et, dans un grand soupir, répandais ma semence au fond de son ventre. J’aurais bien prolongé la chose par un petit câlin, mais Mademoiselle Anne-Sophie n’était pas du genre à perdre son temps. Je fus immédiatement éjecté sur le côté, sans égard ni commentaire, puis les deux filles ramassèrent rapidement leurs vêtements et disparurent dans la salle de bains, ne pensant déjà plus qu’au prix des chameaux à Ouarzazate ! J’en déduisis, désabusé, qu’elles n’auraient plus besoin de mes ...
    ... services pour ce soir, et je me rhabillai en silence, me demandant finalement si tout cela n’était pas qu’un rêve. Erreur ! Elles ressurgirent tout à coup comme deux petits diables, Élodie toujours aussi excitante avec ses bottes et sa mini robe noire, et Anne-Sophie déguisée en Lara Croft. — Bon alors, puisque tu voulais tant nous inviter au restaurant, finalement on accepte. On a réservé une table à ton nom. Dépêche, il ne faudrait pas être en retard. Et elles n’avaient pas fait les choses à moitié. Restaurant grande classe, super repas, mon compte en banque s’en souvient encore. Avec, bien sûr, une carte de poisson. — Tu vas pouvoir te régaler, il y a du thon !— Très drôle ! D’ailleurs, à ce sujet, je pense que notre petite discussion de vendredi dernier est close, n’est-ce pas ?— Va savoir, avec une mal baisée tout est possible. À part ces quelques amabilités, la soirée fut plutôt agréable. Mademoiselle Anne-So alla même jusqu’à s’adresser à moi en me regardant dans les yeux, c’est vous dire ! Elles parlèrent de tout et de rien mais ne firent aucune allusion à ce qui venait de se passer. À chaque fois que j’essayais d’y revenir, elles détournaient fort adroitement la conversation. J’attendis en vain le dessert, puis le café, puis le moment où l’on dut se quitter. Rien. Et elles disparurent comme par enchantement à la sortie du restaurant, après un vague au revoir, me laissant seul sur le trottoir. Inutile de vous dire que je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. Dès le lendemain, la ...