AU BORD DU LAC 8/8
Datte: 03/07/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... attendre, une vie où il ne se passe rien d’xcitant. » expliqua t’elle « Eh bien, tu te lâches, c’est bien. Mais je suis encore ici pour quatre jours. » « Quatre jours ? Tu vas être surpris de voir comment je me lâche. Pour commencer, ce soir , on va danser. » Le soir même, elle vint me retrouver au camping, après s’être changée, et nous partîmes pour le California. L’ambiance battait son plein quand nous arrivâmes. Il faut dire que nous avions fait une halte, sur la route, pour une petite levrette dans la voiture. Déborah portait une sorte de tunique en voile noir, transparent, dévoilant son corps parfait, en dessous d’une veste longue et croisée en cuir noir. Pour compléter son look, elle portait des santiags noires pleines de broderies. Je reconnus Crystelle qui dansait sur la piste, et entrainais Déborah au premier , où je retrouvais Eric. Je lui présentai Deborah, et Crystelle. Les boissons arrivèrent bientôt et Deborah, se mit à siroter du whisky sec. Elle se leva ensuite et partit avec Crystelle pour aller danser. Eric et moi, après avoir parlé , descendîmes retrouver les filles qui se trémoussaient en rythme. Je remarquai que Déborah avait ouvert sa veste, dont les pans s’ouvraient au gré de ses mouvements, laissant apercevoir ses seins, et sa toison. Heureusement, la foule était dense et peu de gens remarquèrent cette tenue osée. Quand vint le temps des slows, elle s’approcha de moi. « Vous dansez, beau blond ? » demanda t’elle en m’entrainant dans ses bras Je la ...
... pris par la taille, sous sa veste ouverte, et fus rapidement au supplice . Elle se frottait contre moi et je sentais la masse chaude de ses seins contre ma chemise. Elle me fit des bisous dans le cou et me dit « Caresse moi. » Je passais mes mains sur sa tunique, massant ses fesses, ou ses seins, protégé, en partie de la vue, par la veste qui couvrait mes gestes. Elle vint passer sa jambe gauche autour de ma droite. Mon genou avançait maintenant entre ses cuisse faisant remonter sa tunique, et je sentis contre ma cuisse le contact chaud et humide de sa chatte. « C’est bon, mets tes doigts maintenant » me chuchota t’elle. Essayant d’être le plus discret possible, je passai mon bras sous la veste et la trouvais, ouverte sous mes phalanges . Je la doigtai pendant tout un morceau tandis qu’elle enfouissait sa tête dans le creux de mon épaule, emettant de petits soupirs d’aise. Sa main fila d’un coup et immobilisa la mienne alors que j’étais au fond d’elle. Elle frémit et mordit mon épaule. Une fois relachée elle me murmura. « J’ai joui, merci. » La série de slows se terminait et je lui proposai d’aller boire un verre au premier. Elle referma prestement sa veste et me précéda. Dans l’escalier, où je la suivai, je me dis qu’une telle tenue, était possible ici, à cause de l’obscurité, mais en plein jour, elle aurait créé une émeute. De retour dans l’alcove, je découvrai Eric et Crystelle, qui se bécotaient en se faisant des caresses soft. Déborah se défit de sa veste et vint se blottir ...