AU BORD DU LAC 8/8
Datte: 03/07/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... contre moi. Au passage, Eric qui ouvrait de grands yeux n’avait pas pu éviter de voir, même dans la semi-obscurité, cette robe qui la faisait plus que nue. D’aiileurs, la profondeur des coussins, avait fait remonter le vêtement sur ses longues jambes, à la limite de son triangle d’or. Les regardant avec un sourire espiègle, Déborah, se leva pour aller jusqu’à la balustrade, observer la piste de danse d’en haut. Ce faisant, elle mit en lumière son côté pile, le voile montrant plus qu’il ne cachait, son splendide fessier. Eric et sa compagne mataient ce tableau. Crystelle caressait la bosse du jean d’Eric, qui se développait. Déborah, fit demi-tour et revont vers nous, devoilant ce que les danseurs avaient dû découvrir en contre-plongée. Ses seins pleins tendaient le fin tissu qui ne masquait rein de sa courte toison et de sa fente. Elle se colla à moi, et me fit des bisous, tout en massant mon sexe , à travars lea toile du jean’s.. Elle but plusieurs whiskies et devint de plus en plus entreprenante, s’allongeant sur le canapé, la tête sur mes cuisses. Le voile était remonté et découvrait la moitié de ses fesses. Eric, n’en pouvant plus sortit son sexe de son pantalon et Crystelle, compréhensive, le prit dans sa bouche et le suça longuement. Déborah, reprit une position assise pour les regarder, tout en attirant ma main entre ses cuisses où son sexe entrebaillé L’accueillit. La soirée s’étira ainsi. Heureusement l’alcove où nous étions était tout au fond de la rochelle et ...
... personne ne venait jusque là. Notre départ ne passa pas inaperçu car Déborah traversa toute la salle sans remettre sa veste, et ne manqua pas de susciter quelques commentaires grivois, sans parler des mains qui la pelotèrent au passage. Une fois au dehors, elle remit le vêtement de cuir, évitant de provoquer des accidents parmi les conducteurs qui s’en allaient. Dans la voiture, elle s’étendit en travers, et sortit mon sexe pour une pipe longue et langoureuse. J’étais bien excité par ce que j’avais vu avant, et je sentis que j’allais exploser . Je tentais de tirer sa tête en arrière, mais elle s’accrocha à moi, et reçut mes décharges dans sa gorge, en déglutissant bruyamment. Elle me nettoya avec sa langue et remis ma queues dans mon jean’s. « Pas trop mauvais finalement » commenta t’elle « Tu vois que je peux me lâcher à un point que tu n’imagines pas. » « Oui, mais là, tu risque d’être arrêtée pour attentat à la pudeur. J’ai fait un peu de droit et » « Et rien du tout. Je connais le patron de la boite. Il a déjà vu bien pire. Il se dit que ma petite prestation va contribuer, avec le bouche à oreille, à amener uen clientèle encore plus nombreuse. Je viens là depuis longtemps, et sur la coursive, j’en ai vu qui baisaient carrément, ce qui peut choquer les petites minettes de 15 ans qui viennent l’été, quand ce n’est pas carrément elles qui se font sauter. Pendant ce temps là, le patron de la boite regarde ailleurs. » « Je l’ignorais » avouai-je « même si je m’en doutais. Ta robe ...