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Telle mère, telles filles ! Ch.2
Datte: 24/07/2017, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou
... l'expression d'un sincère intérêt :- Est-ce que je te fais bander ?Cette fois, j'entre en fureur et sur un "Tu te fous de moi !" suivi d'autres paroles, je la frappe. Elle rit de tout son cœur en luttant des bras et des jambes.Désarmée par son rire, elle se défend à l'aveuglette. Je la couvre de coups et d'attouchements qui semblent ne lui faire aucun mal ; puis ce rire m'exaspère, et, ne sachant pas où la prendre pour la battre, j'empoigne une touffe de poils, je tire... Elle pousse un cri.Comme je crois l'avoir blessée, je tombe dans ses bras avec confusion. Je m'attends à mille reproches ; mais elle ne songe guère à me dire quoi que ce soit qui puisse refroidir mon ardeur pour elle. Même en criant elle ne cesse de rire que pour sourire et s’accuser :- Voilà ce que c'est que d'avoir tant de poils au cul ! Quand tu coucheras avec Lili, je te défie de lui en faire autant.L'incident arrête ma v******e et hâte le dénouement.Marie n'a pas un instant à perdre pour m'offrir son caprice en guise de pardon. Elle me l'offre sans me consulter, avec une habileté d'organe et de posture qui tient de la jonglerie.Couchée avec moi sur le flanc et me prenant les hanches entre ses cuisses relevées, elle passe une main sous elle... y fait je ne sais quoi...puis me dirige comme il lui plait.Certaines courtisanes réussissent des tours incompréhensibles... Comme un jeune premier qui s'éveille dans le jardin d'une magicienne, je faillis soupirer :- Où suis-je ?Car mon enchanteresse demeure ...
... immobile et je ne sais pas bien où je suis entré. Je me tais pour garder un doute qui me laisse une espérance. Mais le doute s'évanouit aux premières paroles.- Ne t'occupe pas de moi, dit-elle. Ne bouge pas. N'essaie pas de me prouver que tu sais t'y prendre. Chantale vient de me le dire ; je m'en fous pour ce soir. Quand tu m'enculeras toi-même, je jouirais sans me toucher.En ce moment c'est moi qui m’encule et tu vas voir ça ! Mais je ne veux pas jouir.- Et si j'aime mieux ta jouissance que la mienne ? Si je te la donne de force ?- De force ? dit Marie. Ne me touche pas ou je te vide les couilles en un tour de cul... Tiens!... Tiens!... Tiens !Elle est affolante. La v******e et la souplesse de sa croupe dépasse tout ce que j'ai éprouvé dans les bras des autres femmes.Cela ne dure que l'instant de m'en faire la menace. Et elle reprend son immobilité.Alors, malgré le feu où elle met mes sens, je ne veux pas attendre la séparation de nos corps pour faire savoir à Marie que je n'aime point être bousculé.Je lui déclare que je la trouve belle, extrêmement désirable, mais qu'après ma vingtième cinquième année je me crois un homme et non un enfant ; que je n'ai nullement le vice de prendre plaisir à la tyrannie d'une femme ; et je ne sais comment je le lui dis, car mon esprit est fort agité. Elle pourrait me répondre que sa menace aurait suivi la mienne : elle n'en fait rien, redevient plus subtile et garde sous un sourire sa pensée intime.- Sois tranquille, je ne te casserai pas ta ...