Telle mère, telles filles ! Ch.2
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
Anal
Mature,
Inceste / Tabou
... queue, dit-elle tendrement. Je te la suce, tu le sens ? Je te la suce avec mon trou du cul.Ce qu'elle fait, je ne sais l’exprimer. Mais sa bouche, en effet, ne m'aurait pas excité la bite davantage. Il me devient difficile de parler. J’ai l’impression qu’un serpent veut avaler ma queue en l’aspirant, puis la broyant avec ses anneaux et la repoussant pour ne pas étouffer !Elle suit sur mon visage le reflet de mon désir et des sensations quelle me procure, et, sans le besoin de m'interroger pour savoir s'il est temps, elle presse peu a peu l'allure de ses reins, la rotation de son cul, la pression de ses muscles internes, jusqu'à l'adagio, me semble-t-il.Je murmure :- Plus vite !Ce qu'elle ne consent pas. Je n'ai qu'un vague souvenir de ces dernières secondes. Le spasme qu'elle m’arrache de ma chair est une sorte de convulsion dont je n’ai pas conscience et que je ne peux décrire.J’ hurle comme un damné sous la morsure d’un fouet et je balance tout mon foutre dans cet antre de l’enfer.Aussi, remis de mon orgasme, ma première question fut, après deux minutes de silence:- Putain ! J’ai bien cru que mon cœur allait s’arrêter ! Qu'est-ce que tu m'as fait ?- Un super branlette avec mon trou du cul, dit-elle en riant. Plusieurs années d’expérience. Tu as déjà enculé des femmes...- Oui. Il y a une heure. Une toute jeune fille qui ne s'y prend pas mal, pourtant.- Pas mal du tout. Elle a du muscle, hein ? Et elle en veut cette petite cochonne.- Mais toi...- Mais moi je suis la ...
... première qui t'ait sucé la queue par là. Tu veux savoir comment je fais ? Je te dirai ça demain. Laisse-moi me lever. Tu veux savoir aussi pourquoi ? Pour éjecter les petits bébés que tu viens de m’envoyer dans le cul car si c’était parti devant tu aurais été capable de faire une petite sœur à mes trois filles.... Quand elle m'apparait de nouveau, toujours nue et arrangeant des deux mains sa coiffure derrière la nuque, je repère vite fait que, par ce geste relevant ses bras, Marie veux moins rentrer ses petits cheveux que tendre ses deux seins dont elle est fière.Je n'ai jamais été un de ces adolescents qui dépérissent pour les femmes mures, mais une mère maquerelle de trente-huit ans, quand elle est belle de la tête aux pieds et qui de plus est ma soeur, c'est un "morceau de choix", disent les sculpteurs ;" c'est une femme", disent les amants.Et qu'est-ce que n'est pas cette femme ? Mettez la question dans un concours ; elle départagera curieusement les hommes.Marie, nue, ressemble à un mezzo d'opéra. Vous alliez dire... à une fille de bordel ? Pas du tout.Vous murmurez... c'est la même chose ? Non.C'est le jour et la nuit. Si vous ne connaissez les actrices que par les conversations de fumoir, n'en dites rien.Les belles cantatrices qui vivent de leur lit et les filles souvent plus belles qui chantent leur âme sentimentale en montant un escalier rouge n'ont guère d'autre analogie que leur commune aisance à marcher presque nues, et à se faire traiter de putains.La fille de théâtre ...