1. Telle mère, telles filles ! Ch.2


    Datte: 24/07/2017, Catégories: Anal Mature, Inceste / Tabou

    ... enculer chez toi le premier jour... et sa mère est venue ensuite en se disant qu’après tout ça reste en famille..Sur ce mot elle se remet à rire, d'abord pour me persuader que son histoire marseillaise n'a aucune importance, et ensuite parce qu'elle veut me voir de bonne humeur avant de me faire part de ses projets.Du rire elle passe aux caresses. Quand elle est sûre de mon état d’esprit en voyant ma queue prête à l’emploie, elle me pose une question sous la forme qui convient à l'extraction des aveux : -Tu n'es plus un jeune puceau mais tu te rappelle surement ce que c'est qu'une jeune fille ? Tu as du jouer à touche pipi avec tes petites voisines quand tu étais adolescent et que tu matais mon cul ? Une vraie, sans poils, avec de petits nichons ; tu en as déjà baisé ?- Oui... mais pas souvent. Deux... ou quatre... en tout. Deux vraies, comme tu dis...et les deux autres un peu moins vraies.- Deux, ça me suffit. Tu sais qu'on n'enfile pas une adolescente comme une femme, et que quand on lui a logé le bout de la queue dans sa petite chatte c’est peut être tout ce qu’elle peut prendre ? Tu le sais ça ? Tu sais qu’il faut l’amener à ce qu’elle te supplie d’aller plus loin ?- Évidemment. Pourquoi me le demandes-tu ?-Parce que je vais t'envoyer ma Lili et, comme tu me semble un sacré baiseur, je ne veux pas que tu me la déchire.Les patientes personnes des deux sexes qui ont assumé la charge de mon éducation m'ont appris qu'au bal, si la belle dame que l'on invite répond au jeune ...
    ... homme : "Faites danser ma fille", il ne peut manifester ni regret, ni plaisir, ni indifférence. La situation est très complexe.Je le savais, mais, tout nu, je suis moins bien élevé qu'en habit et son discourt m’excite vachement. Alors, voyant là une occasion, vicieusement j’en rajoute.- Je crois que je ne saurais pas m'y prendre. Donne-moi une leçon.Elle devient un peu nerveuse et rit en détournant la tête.- Ce que tu me demandes, tu ne l'as même pas vu.- Et bien, Montre-le-moi.- Pas maintenant. Tu m'as enculée pour commencer. Tu verras et tu prendras ma chatte plus tard. Mais tu sais ce que j'ai dit ?- Ce sera pour la fin ? Le bouquet final en quelque sorte !- Pauvre petit frère ! Si je me fourre ta queue dans la bouche, tu seras bien à plaindre. Et si je te fais danser les couilles du bout de ma langue... Tu ne la connais pas, ma langue ? Tiens ! Regarde ! Regarde !Effectivement elle sait se servir de sa langue. Elle passe partout sur ma bite sans en oublier une seule partie et elle fait effectivement sauter mes boules en l’air avant de les ratt****r en bouche comme avec un bilboquet.Comme, sans m'abstenir de regarder, j'essaye de prendre en main le chat de Marie d'une façon plus simple et non moins agréable, elle serre les cuisses, et elle arrête mon bras :- Je crois que tu ne comprends pas qu'on n'attache pas trois filles avec une chaîne à la ceinture comme trois singes autour d'un piquet ? Qu'elles faisaient l'amour à Marseille et qu'elles ne le font plus à Paris ? Que si ...
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