Telle mère, telles filles ! Ch.2
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
Anal
Mature,
Inceste / Tabou
... je prends un amant elles en prendront six ? Ecoutes-moi. Tu me veux ? Tu m'auras. Mais tu nous auras toutes les quatre. Nous sommes indissociables.Je faillis demander avec effroi : "Tous les jours ?" Je me retiens et j'essaye de dissimuler mon inquiétude sous un masque reconnaissant.- Je vais t'envoyer Lili, poursuivit-elle, parce que Lili se couche de bonne heure et que les jeunes filles sont comme les dames du monde : elles ont le feu au cul l'après-midi. Ce soir je t'enverrai Cécile pour toute la nuit. Demain soir, c'est moi que tu verras entrer. Et si tu n'es pas content de nous, tu demanderas le registre des réclamations.- Je suis comblé... Malheureusement, je vois que tu t'en vas ?- Non. Dans cinq minutes seulement, quand j'aurai tenu mes promesses. Mais à deux conditions : tu ne jouis pas ; moi non plus. Je ne te donne pas mes beautés pour que tu leur fasses minette..Recommandation inutile. J'aime beaucoup mieux prouver ma virilité que rivaliser avec des lesbiennes, et cette préférence devient exclusive quand je couche avec une femme qui a d'autres amants.Toujours souple et agile, Marie fait un saut d'écuyère pour tenir ses deux promesses, tête-bêche sur mon corps étendu.Ce qu'elle met sous sur mes yeux me parait extraordinaire. Toutes les parties de son entrejambe et de sa chatte sont anormales :Un clitoris protubérant ; de vastes lèvres minces, délicates, noires et rouges comme des pétales d’orchidée , une gorge vaginale longue et étroite, qui donne par contraste ...
... aux lèvres une proportion monstrueuse, un étrange anus en cocarde, largement teinté de bistre sur un fond pourpre, mais, autour de ces détails, la singularités des plus invraisemblables est sa pilosité. Je crois que jamais une femme aussi velue de noir n'a couché dans mon lit. Ses poils envahissaient tout :Le ventre, les cuisses, les aines, ils s’étendent entre les fesses, ils obscurcissaient la croupe, ils montent jusqu'à...Tout à coup, je ne vois plus rien. La langue de Marie m'a touché la peau sous mes couilles à la limite de ma rosette.Mon muscle annulaire piqué au vif se crispe. La langue erre, tourne, s’égare et passe par-dessous... Je frémis. Cela ne dura qu'un instant. Marie relève la tête et, sautant du lit :- Assez pour ce soir ! dit-elle.- Tu as juré de me rendre enragé ? Tu vas me laisser dans un pareil état ? Complètement frustré !- C'est pour Lili. Je cours la chercher. Fais-lui croire que tu bandes pour elle. Et demain, toi et moi... toute la nuit, tu m'entends...Rien ne me déplaît davantage que les subtilités ou suggestions d'amantes qui vous laisse croire et qui vous abandonne aussi vite. Désirer une femme, en posséder une autre, cela m'est odieux. Quand Marie a disparu, je décide que Mlle Lili se fera désirer elle-même ou qu'elle n'aura rien du tout.En l'attendant, je pris dans ma bibliothèque un roman capiteux et des plus érotiques d’Édouard Demarchin, que j'avais acquis tout exprès pour faire tomber par la force les érections rebelles à ma volonté.A la ...