1. Une salope en devenir... (4)


    Datte: 04/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... mains ne sont plus miennes, attachées par des menottes. Je suis tout offerte. Mon Professeur m’offre son sexe. Je comprends alors tout l’exercice du bâillon ouvert. J’avais évoqué que je n’étais pas à l’aise avec la pratique de la gorge profonde, que je ne savais pas faire. Si je veux devenir cette belle Salope, je dois apprendre à maîtriser cette pratique parfaitement, d’où cet exercice à nouveau aujourd’hui. Il peut paraître étrange de parler d’exercice, de leçon – assimilés comme des devoirs à faire, peut-être par obligation – mais il n’en est rien. J’éprouve du plaisir et même beaucoup de plaisir lors de ces pratiques. C’est ce qui est paradoxal. Je suis debout, je fais connaissance avec un nouvel objet, la cravache. C’est nouveau, et pourtant je ressens le même plaisir que lorsque je reçois la fessée de la main de mon Professeur. Le haut de mon corps est plaqué sur le lit, mes fesses offertes, ma chatte à disposition tout humide, la langue de mon Professeur intrusive dans ma chatte. Puis je suis allongée sur le dos sur le lit, mes mains et mes chevilles sont liées. Je suis toujours dépourvue de ma vue et de la parole. Je reçois le martinet, il le concède, à chaque fois, que je reçois le martinet, mon désir s’accroît, je suis davantage humide. Je l’avoue, le martinet est une source d’excitation. Il se positionne sur le côté, une nouvelle fois j’ai accès à son sexe, une nouvelle séance de gorge profonde. J’accepte plus docilement la position de son sexe dans ma bouche, ...
    ... bien que parfois difficile. Je dois dépasser cette sensation d’étouffement. Accalmie. Mon professeur me permet de reprendre mon souffle, il me caresse le corps. J’aime cet instant, il me parle beaucoup, me demande si je suis en confiance, si je suis prête à tout lâcher, que je suis sur le bon chemin pour devenir cette magnifique Salope. Ses mots me rassurent, me réconfortent, m’encouragent. Ils sont doux à mes oreilles. J’aime quand il me parle, j’aime cette complicité. Puis il me demande ce que je souhaite... contre toute attente, je m’entends dire que je veux le martinet. Très bien, je vais avoir le droit à cette séance de martinet. Ce n’est plus dans le cadre de l’apprentissage, ce sera une vraie séance. Il me positionne, debout devant le lit, mes poignets sont liés à mes chevilles, mon buste plaqué contre le lit, j’ai toujours les yeux masqués mais je n’ai plus le bâillon. J’attends... Ses mains courent le long de mon corps – j’en ressens des frissons – quelle délicieuse sensation, mon corps est déjà en éveil. (Ecrire ce passage, me procure aussi d’agréables sensations de frissons, mes seins réagissent également, ils se durcissent et mes tétons sont pointus) Je reçois une première série de « coups » je n’aime pas ce mot, je ne les perçois pas comme des coups. Il faut que je trouve un autre mot. Puis je sens le sexe de mon Professeur s’introduire. Je suis si mouillée, que l’accès à ma chatte n’est qu’une formalité. Et il reprend, à nouveau le martinet, puis son sexe. Je n’ai ...