Adeline petite soeur (8)
Datte: 04/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
L’anniversaire d’Adeline se profilait sur l’horizon de son existence, et même s’il était défini comme le quart de siècle, rien n’altérait sa beauté ou sa grâce. Il était invraisemblable pour moi de ne pas marquer cet événement comme l’un des plus beaux de sa vie et je mis de longues semaines à préparer une fête comme jamais elle n’en aurait connu. Avec l’aide de quelques amis sûrs, dont je savais qu’ils garderaient le secret jusqu’au jour « J », j’échafaudais un plan d’enfer, mais qui ne laissait rien entrevoir d’autre qu’une petite soirée entre potes. Et si Adeline ne montrait pas son impatience légendaire, je savais bien qu’au fond d’elle bouillonnaient mille et une questions. J’avais mis notre mère dans la confidence également, mais son état de santé s’étant dégradé, elle se contenta de regarder les choses se faire ; et Adeline, inquiétée de cela, déportait son attention de mes préparatifs. Rien n’était plaisant à voir dans ce contraste, d’autant que je savais déjà que ce serait le dernier anniversaire de sa fille que ma mère verrait. Nous ne voulions simplement pas alarmer Adeline. Et tout comme notre histoire d’amour était un secret à garder, la santé de ma mère et son issue inéluctable était un fardeau que je devais porter seul. J’avais heureusement hérité de sa force de caractère, et malgré son état, c’est avec son soutien que je parvins à tout organiser comme je le souhaitais. Le jour tant attendu arriva, et avec lui, l’explosion de ma petite sœur, plus si petite que ...
... ça d’ailleurs et devenue une si belle femme. Elle libéra toute la pression accumulée depuis des semaines, bondissant dans tous les sens, posant deux cents questions à la minute, c’était infernal et en même temps, tellement adorable de la voir avec ce sourire éclatant et cette joie de vivre si intense. Je l’avais un peu frustrée la veille au soir en prétextant une grosse fatigue pour ne rien faire sous la couette. Au vu de la fin de soirée que je lui réservais, il ne pouvait en être autrement d’ailleurs. Elle chercha tout de même jusqu’au dernier moment à obtenir son Saint Graal, mais je tins bon, sachant qu’elle ne m’en tiendrait pas rigueur. Je la laissais se préparer et quand elle parut dans la salle à manger, je restais sans voix. Je revois encore la belle robe noire tombant sur le haut de ses chevilles, les deux bretelles fines déposées sur ses épaules, ce petit décolleté discret, et le gilet blanc qui ornerait le haut de son corps le temps d’un trajet vers une soirée que j’espérais de rêve pour elle. Notre mère versa une larme en la voyant ainsi et lui dit : « J’ai l’impression de ne pas t’avoir vue grandir, et aujourd’hui tu es une femme magnifique ma puce. » Elles tombèrent dans les bras l’une de l’autre et ma mère s’adressa alors à moi, serrant toujours ma sœur contre elle : « Veille bien sur elle mon grand, je compte sur toi. » Je savais que ces mots signifiaient bien plus que leur sens, allaient bien au-delà d’une simple soirée, ou de quelques mois. Ma mère pensait ...