Adeline petite soeur (8)
Datte: 04/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... forcément à cet après funeste qui se profilait. Je lui répondis simplement d’un sourire, mais le message était bien passé. Et nous nous mîmes en route. « Tu m’emmènes où ? me demanda Adeline. — Je vais essayer de ne pas te décoiffer, mais je dois te bander les yeux. A toi de me faire confiance. — J’aime beaucoup cette idée, OK, va pour la surprise. » Je la fis descendre de la voiture lentement et, accrochée à mon bras, l’amenais pas à pas vers le lieu des festivités. J’avais loué, avec l’aide de nombreux amis, la salle des fêtes de notre petite ville, et tout le monde avait participé pour amener un petit quelque chose à manger ou à boire. Nous étions une grosse quarantaine, dont les deux meilleurs amis d’Adeline, mon binôme de lycée avec qui je travaillais d’ailleurs, et qui avait toujours eu un faible pour ma sœur. Alors que je lui retirais le bandeau des yeux, la musique de « bon anniversaire » retentit au même moment. Je compris un peu plus ce que le maquillage « waterproof » pouvait avoir d’utile quand Adeline se mit à pleurer à chaudes larmes. Toute l’assemblée chantait en chœur, tapait des mains et la belle du soir était au centre de tout ce monde, réunit juste pour elle. Elle tomba dans les bras de chacun, n’oubliant personne. Elle revint ensuite vers moi et je la pris dans mes bras en lui disant doucement au creux de l’oreille : « Bon anniversaire ma chérie, je t’aime. » Elle faillit bien m’embrasser, je tournai la tête juste à temps et rajoutai : « Pas maintenant, ...
... mais ne t’en fais pas, ça viendra. » La musique fut lancée presque aussitôt et Adeline, posant son gilet entraîna une grande partie de l’assistance avec elle dans une danse endiablée. Si j’étais tombé en pâmoison devant elle avant de partir, je n’en fus pas moins conquis de la voir si belle, si magnifique ce soir-là. Quand j’eus le bonheur de danser un petit slow avec elle, nous restâmes les yeux dans les yeux, sans plus faire attention au monde qui nous entourait. D’aucun aurait sans doute pu déceler notre secret rien qu’en nous voyant ainsi, mais nous n’y pensions pas le moins du monde. Les lumières s’éteignirent et on amena le gâteau sur lequel trônait le chiffre vingt-cinq forcément, avec le nombre de bougies correspondantes. Même dans la faible lueur de celles-ci, Adeline resplendissait. Dieu que j’aimais cette femme, et je n’imaginais plus un seul instant de ma vie sans elle. Nous terminâmes cette incroyable soirée tard dans la nuit, nuit qui n’était pourtant pas encore achevée pour nous deux, et principalement pour elle. De retour chez nous, je constatais que notre mère dormait du sommeil du juste, et c’était là une bonne chose aux vues de ce qui allait suivre. Je cachais une nouvelle fois les yeux d’Adeline avant de rentrer dans notre chambre. Toute impatiente, elle joua pourtant le jeu jusqu’au bout. Je verrouillai la porte et lui dis doucement : « Tu peux ouvrir les yeux, bon anniversaire petite sœur. » Sur le lit elle trouva deux cadeaux que j’avais préféré attendre ...