1. LA VIRÉE - 1ère partie


    Datte: 24/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Gay Voyeur / Exhib / Nudisme

    LA VIRÉE – 1ère partie.L’histoire se passe dans le Paris de la fin du XIXe siècle, à l’époque de Toulouse-Lautrec, des mauvais garçons et des putes de cafés. Les femmes ne dédaignaient pas toujours les femmes et les hommes se laissaient parfois entrainer à des découvertes masculines. Cette histoire contient des scènes érotiques et un peu de v******e, je préfère vous en aviser.______________________________________________________________________________« Tout dépend de l’habit », m’avait dit Vertot, qui s’y connaissait en virée dans les bas-fonds de Paris. Il faut laisser son haut de forme, sa canne, ses chaussures vernies, et son parfum à la maison. Place aux habits de toile, à la laine et au cuir brun. Le langage ? Le patois ? Pas très important car on parlait peu et souvent, comme on était entre bourgeois et pas entre ouvriers, la langue était la même.Vertot était aussi un bon ami. Il préférait les hommes mais il était comme moi en fait, il prenait son plaisir où il le trouvait. On était aussi tous les deux voyeurs, portés sur les scènes coquines ou inusitées. Il y avait aussi Bertall, un joli minet, qui se joignait souvent à nous. Il était un peu plus âgé, dans la quarantaine, mais tout aussi gaillard. On s’était vu l’un l’autre en action mais jamais on avait fricoté ensemble. On attendait l’occasion peut-être.Ce soir-là, Bertall nous avait rencontrés, Vertot et moi, tout près de la maison rose de l’autre côté de Montmartre. Il faisait presque nuit. Plusieurs « ...
    ... établissements » longeaient la route jusqu’à un endroit qu’on appelait La Barque, car il était tout près de la Seine. C’était une région de mauvais garçons et il valait mieux être trois que tout seul. Comme nous étions vêtus comme des ouvriers, on risquait moins de se faire dévaliser que si on avait choisi de nous habiller en bourgeois. On passa devant une taverne qui semblait trop animée pour qu’on s’y arrête. Par contre, quelques mètres plus loin, se tenait un garçon d’une vingtaine d’années avec casquette et qui pissait contre un arbre. « Couvrez-moi », nous dit Vertot qui s’approcha de la scène. Notre ami s’installa à côté du garçon et sortit sa queue pour pisser. Bertall et moi nous nous sommes engagés dans le petit bois pour avoir une bonne vue de face de nos deux lascars. Le jeune homme ne pissait plus mais gardait sa queue bien en vue et Vertot, une fois sa vessie vidée, se caressa lentement la queue tout en jetant un coup d’œil au garçon. Bertall et moi étions accroupis derrière un bosquet et on admirait la scène. Il était évident que les deux hommes en voulaient. Bertall siffla une note. Vertot prit le garçon par le bras et le ramena dans notre direction. Les deux hommes, la queue sortie de leur braguette, se mirent tête-bêche sur le sol de la forêt. Bandés comme des étalons, ils se sucèrent pendant quelques minutes, à deux pas de nous, les mains tâtant du fessier à travers leur pantalon jusqu’à ce qu’ils tirent leur coup dans la bouche de l’autre. Le jeune homme se releva ...
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